LE BAC 68
Comédie française
Écrit, mis en scène et joué par Philippe Caubère, après avoir été improvisé devant Jean-Pierre Tailhade et Clémence Massart
Vendredi 10 février
20h30 au théâtre Georges-Leygues
Tout public - Dès 15 ans
Durée : 1h50
Tarif :
Écrit, mis en scène et joué par Philippe Caubère, après avoir été improvisé devant Jean-Pierre Tailhade et Clémence Massart
Vendredi 10 février
20h30 au théâtre Georges-Leygues
Tout public - Dès 15 ans
Durée : 1h50
Tarif :
THÉÂTRE
Philippe Caubère ne raconte pas sa vie, il la joue. Et il tient tous les rôles.
Caubère, comédien hors norme et protéiforme, reprend son inénarrable anthologie personnelle, ici sur les préparatifs et l’examen qui ouvre grand la porte sur l’avenir : le bac. La bête de scène est lâchée ! C’est une performance d’acteur, comme toujours avec Philippe Caubère, qui joue avec un brio démesuré et un appétit insatiable. Il en fait des tonnes et on adore ça. C’est aussi une performance d’auteur, avec ses formules à l’emporte-pièce et ses situations irrésistibles. Le numéro est époustouflant, on admire sa capacité de mémoire aussi bien que son pouvoir de faire surgir des instantanés, avec une simple chaise pour complice. Ce spectacle volubile revient avec mille grains de folie sur cette tranche de vie bachelière de L’Homme qui danse où Caubère, ou plutôt son double, Ferdinand Faure, campe une dizaine de personnages, de la mère inquiète à l’examinateur atterré. Il faut dire que la Sibérie racontée par le cancre n’a pas grand-chose à voir avec la réalité du sujet tiré au sort. Et on rit à chaudes larmes devant ce face-à-face à unique interprète, quitte à mettre le feu à ce blanc désert glacial.
Sans temps mort, on remonte volontiers les années et l’on refait le monde, avec le recul qui permet de savourer d’autant mieux cet épisode. Le bac, rendez-vous emblématique ; 1968, année qui ne l’est pas moins… Ce Bac 68 est donc historique et mérite une mention spéciale du jury !
« Le Bac 68 n’est pas un nouvel épisode, mais un peu comme un best of d’une certaine période. Sur le passage avec l’examinateur : Il est là si éblouissant qu’il m’a semblé, à moi qui croyais avoir tout vu de lui, que c’était un épisode inédit. »
Jean-Pierre Thibaudat, Mediapart
www.philippecaubere.fr
Ecriture, mise en scène et interprétation : Philippe Caubère
Assistant à l'écriture : Roger Goffinet
Lumière : Claire Charliot
Son : Mathieu Faedda
Styliste : Christine Lombard
Jupe de la mère : Sophie Comtet d'après un tableau d'Egon Schiele
Photos : Michèle Laurent, Arnold Jerocki et Gilles Vidal
Production : Véronique Coquet pour La Comédie Nouvelle
Avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication
Photo : Arnold Jerocki
Caubère, comédien hors norme et protéiforme, reprend son inénarrable anthologie personnelle, ici sur les préparatifs et l’examen qui ouvre grand la porte sur l’avenir : le bac. La bête de scène est lâchée ! C’est une performance d’acteur, comme toujours avec Philippe Caubère, qui joue avec un brio démesuré et un appétit insatiable. Il en fait des tonnes et on adore ça. C’est aussi une performance d’auteur, avec ses formules à l’emporte-pièce et ses situations irrésistibles. Le numéro est époustouflant, on admire sa capacité de mémoire aussi bien que son pouvoir de faire surgir des instantanés, avec une simple chaise pour complice. Ce spectacle volubile revient avec mille grains de folie sur cette tranche de vie bachelière de L’Homme qui danse où Caubère, ou plutôt son double, Ferdinand Faure, campe une dizaine de personnages, de la mère inquiète à l’examinateur atterré. Il faut dire que la Sibérie racontée par le cancre n’a pas grand-chose à voir avec la réalité du sujet tiré au sort. Et on rit à chaudes larmes devant ce face-à-face à unique interprète, quitte à mettre le feu à ce blanc désert glacial.
Sans temps mort, on remonte volontiers les années et l’on refait le monde, avec le recul qui permet de savourer d’autant mieux cet épisode. Le bac, rendez-vous emblématique ; 1968, année qui ne l’est pas moins… Ce Bac 68 est donc historique et mérite une mention spéciale du jury !
« Le Bac 68 n’est pas un nouvel épisode, mais un peu comme un best of d’une certaine période. Sur le passage avec l’examinateur : Il est là si éblouissant qu’il m’a semblé, à moi qui croyais avoir tout vu de lui, que c’était un épisode inédit. »
Jean-Pierre Thibaudat, Mediapart
www.philippecaubere.fr
Ecriture, mise en scène et interprétation : Philippe Caubère
Assistant à l'écriture : Roger Goffinet
Lumière : Claire Charliot
Son : Mathieu Faedda
Styliste : Christine Lombard
Jupe de la mère : Sophie Comtet d'après un tableau d'Egon Schiele
Photos : Michèle Laurent, Arnold Jerocki et Gilles Vidal
Production : Véronique Coquet pour La Comédie Nouvelle
Avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication
Photo : Arnold Jerocki
Dernière modification : mercredi 31 août 2016