A tort ou à raison
De Ronald Harwood
20 h 30
Théâtre Georges-Leygues
Tout public
Durée : 1 h 45 sans entracte
Tarif :
Une confrontation de haut-vol qui interroge sur le rôle et la place des artistes.
A-t-on raison ou tort d’accuser Wilhelm Furtwängler, chef d’orchestre renommé, de collaboration avec le régime nazi ? Berlin, 1946. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale,le commandant américain Steve Arnold (Francis Lombrail,éblouissant homme de théâtre et de cinéma croisé chez Yasmina Reza) se retrouve face au célèbre chef d’orchestre incarné avecgénie, comme toujours, par Michel Bouquet. Ce dernier se voit reprocher d’avoir continué à diriger la philharmonie deBerlin durant le régime hitlérien et d’avoir échangé une poignéede mains avec l’immonde dictateur. Où donc commencent et s’arrêtent les liens parfois sulfureux entre l’Art et la Politique ?Réunissant un auteur (Ronald Harwood, « oscarisé » pour son scénario du Pianiste de Roman Polanski) et un metteur en scène (Georges Werler, dont la pièce Collaboration avait été très remarquée) maîtres de leur art, À tort et à raison jouit d’un sujet passionnant et d’interprètes prodigieux. Une grande leçon dethéâtre.
« On attendait beaucoup de cette pièce et elle va bien au-delà de notre attente. C’est tout simplement magistral ! » Le Parisien
Mise en scène : Georges Werler
Assistante mise en scène : Nathalie Bigorre
Scénographie : Agostino Pace
Lumières : Jacques Puisais
Conception sonore : Jean-Pierre Prévost
Traduction française : Dominique Hollier
Avec Michel Bouquet, Francis Lombrail, Juliette Carré, Didier Brice, Margaux Van Den Plas et Damien Zanoly
© PLP Productions
THEATRE
Jeudi 08 octobre20 h 30
Théâtre Georges-Leygues
Tout public
Durée : 1 h 45 sans entracte
Tarif :
Une confrontation de haut-vol qui interroge sur le rôle et la place des artistes.
A-t-on raison ou tort d’accuser Wilhelm Furtwängler, chef d’orchestre renommé, de collaboration avec le régime nazi ? Berlin, 1946. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale,le commandant américain Steve Arnold (Francis Lombrail,éblouissant homme de théâtre et de cinéma croisé chez Yasmina Reza) se retrouve face au célèbre chef d’orchestre incarné avecgénie, comme toujours, par Michel Bouquet. Ce dernier se voit reprocher d’avoir continué à diriger la philharmonie deBerlin durant le régime hitlérien et d’avoir échangé une poignéede mains avec l’immonde dictateur. Où donc commencent et s’arrêtent les liens parfois sulfureux entre l’Art et la Politique ?Réunissant un auteur (Ronald Harwood, « oscarisé » pour son scénario du Pianiste de Roman Polanski) et un metteur en scène (Georges Werler, dont la pièce Collaboration avait été très remarquée) maîtres de leur art, À tort et à raison jouit d’un sujet passionnant et d’interprètes prodigieux. Une grande leçon dethéâtre.
« On attendait beaucoup de cette pièce et elle va bien au-delà de notre attente. C’est tout simplement magistral ! » Le Parisien
Mise en scène : Georges Werler
Assistante mise en scène : Nathalie Bigorre
Scénographie : Agostino Pace
Lumières : Jacques Puisais
Conception sonore : Jean-Pierre Prévost
Traduction française : Dominique Hollier
Avec Michel Bouquet, Francis Lombrail, Juliette Carré, Didier Brice, Margaux Van Den Plas et Damien Zanoly
© PLP Productions
Dernière modification : mardi 30 août 2016