Ville et commerçant : main dans la main
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Le leitmotiv est clair : Villeneuve doit se démarquer par ses atouts, toute l’année. La municip

J'aime mon commerce, je le soutiens !
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Touchés de plein fouet par la crise sanitaire, les commerces sont directement impactés et leur act


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Nouveaux commerces

Chaque mois, de nouveaux commerces ouvrent leurs portes à Villeneuve. A leur tête, des chefs d’entreprises qui se développent pour certains, se lancent pour d’autres, ou se reconvertissent. Tous ont en commun cette envie d’entreprendre et d’apporter du service de proximité. Petit aperçu des dernières ouvertures.

L’ÉCHOPPÉE BELLE

Elle s’appelle Alexandra Céjovic, lui, c’est Hamid Laabissi. Elle est peintre et sculptrice, lui, est décorateur d’intérieur. Assurément atypiques, ces deux-là se sont bien trouvés et ont ouvert à Villeneuve-sur-Lot L’Echoppée Belle, un atelier-boutique-vitrine de créations uniques.
Des luminaires en matières naturelles aux objets détournés, des sculptures en pâte polymère en passant par les tableaux à l’encre de chine ou à la pierre noire ou encore aux meubles customisés, leur créativité n’a pas de limite.
Leur plus grand bonheur, c’est lorsqu’un client leur demande de relooker un meuble, voire décorer un restaurant. Là, AlexFlex de son nom d’artiste et Hamid pour Rénov’&Déco, ont l’œil qui frise et les synapses en effervescence. Dans leur atelier qu’ils surnomment « la salle de jeu » -contiguë à leur boutique showroom- les idées fusent. Choix des matériaux, techniques souvent plurielles, tout est soigneusement préparé, sélectionné, travaillé, peaufiné : de la belle ouvrage réalisée dans les règles de l’art. La fantaisie, la liberté et le talent en prime.
Si des pièces maîtresses aussi éblouissantes qu’insolites émaillent leur très bel espace de près de 100 m2, on y trouve aussi de craquants petits elfes modelés et colorés à des prix minis, des séries thématiques de tableaux, de la statuaire et des lampes qui devraient affoler les fans de décoration.
Inspirés et inspirants, ils ont un autre point commun : un amour immodéré pour la Bastide. Gageons qu’elle le leur rendra bien.

L'échoppée Belle,  rue de la Convention (face à l'ancien Hôtel de Ville).
Ouvert les jours de marchés, le mardi et le samedi de 9h à 19h et sur rendez-vous par mail lechoppeebelle@gmail.com


ESMÉE BELEZA

À 17 ans, elle a été sacrée Meilleure apprentie de France en esthétique cosmétique. Si Fiona Correia Da Silva ne tire aucune gloire de sa médaille d’or, elle en a gardé l’exigence de l’excellence. Un bac pro en poche et cinq ans d’expérience plus tard, elle ouvre son propre institut privé en plein cœur de sa Bastide natale.
Et là encore, la jeune femme sait ce qu’elle veut. Chez elle, pas de multiples soins à la carte ; seulement ceux dans lesquels elle s’est spécialisée : manucure et pédicure russes, spa-pédicure bien-être (adapté aux enfants), épilation visage au fil ou à la cire, extension et rehaussement de cils, teinture sourcils et maquillage.
L’institut est privé, entendez par là que Fiona ne reçoit que sur rendez-vous et une seule cliente à la fois, dans son bel espace de 50 m2. Pour son cadre très cocooning, elle a fait le choix de matières nobles, bois, velours et lin, et de meubles sur-mesure, créés par son papa Philippe, artisan menuisier. Perfectionniste, et très attachée aux valeurs familiales, elle y a même introduit un vrai bel olivier, symbole de paix, d’éternité… et du Portugal où sont ses racines et dans lesquelles, semble-t-il, elle puise amour, douceur et détermination. Au fait, Beleza, ça signifie Beauté en portugais.

5, rue des Élus (entre le Proxy de la place Lafayette et la rue Lakanal). Ouvert du lundi au samedi. Réservations via la plateforme Booksy. Sur Instagram : esmée_beleza.institutprive

MA PIERRE DE CŒUR

C’est une boutique qui fait du bien. « Ma pierre de cœur », c’est un florilège d’articles axés sur le bien-être. On y trouve des minéraux naturels aux vertus bienfaisantes : des protecteurs aux apaisants, des bruts aux polis, des iridescents aux translucides en passant par les rubanés, plus d’une cinquantaine de variétés colorées s’offrent au regard. On les retrouve sous la forme de superbes géodes ou de galets taillés, montées en bijoux ou en « bracelets chemin de vie » à personnaliser. Impossible non plus de passer à côté des lampes de sel, des orgonites, des fascinantes fontaines d’encens, des coussins de méditation, des statues de Bouddha, des bougies et des décorations incitant à la zénitude.

Cet univers minéral chargé de bonnes ondes, c’est celui d’Anne-Marie Bérail. Fascinée par le pouvoir des pierres, elle a fait le choix de recentrer son énergie en un seul lieu, après 25 ans à sillonner les routes, en bus. Et c’est Villeneuve-sur-Lot qu’elle a choisi. Après avoir participé au marché de Noël en 2022, la Bastide lui est apparue comme une évidence. Séduite par le travail d’artisans locaux, elle expose également leurs créations, des savons floraux aux attrape-rêves en passant par les jeux de cartes divinatoires. 

Passeuse de talents mais aussi d’invisible, Anne-Marie envisage de proposer, dès le mois de janvier, des ateliers en lien avec le bien-être. D’ici là, elle prépare Noël avec des coffrets surprises ou personnalisables, une mine d’idées cadeaux pour les fêtes, à offrir… ou à s’offrir !

31, rue de la Fraternité. Ouvert du mardi au samedi de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h30. Fermé le jeudi matin.

Contact : 06 70 35 20 95 / Facebook et Instagram : mapierredecœur


O L’ARTISTE, 31 rue de Casseneuil

C’est un petit paradis pour les amoureux des loisirs créatifs et de l’art ! On y trouve tout le matériel et les accessoires pour la pyrogravure, la sculpture, le modelage argile et polymère, peintures, scrapbooking, cordages, macramé, perles en bois, papiers, broderie, punch needle, savons, bougies, livres, bref, un joli repaire pour tous les mordus du fait main. 

C’est le cas d’Émeline Guillet qui a ouvert, à Villeneuve-sur-Lot, la boutique qu’elle aurait aimé y trouver lorsque la créativité la démangeait. Car cette photographe de formation, devenue cheffe de culture dans un verger, n’a jamais perdu le goût des activités de l’enfance où l’imagination, l’inventivité et l’expression personnelle étaient de mise dans une famille d’artistes et de touche-à-tout de génie.

Elle y a puisé la force d’être elle-même, de laisser libre cours à sa sensibilité extrême, celle qu’elle exprime par exemple dans la maîtrise de l’art du papier, comme avec ces pivoines en bouton qu’elle fait éclore sous ses doigts, étonnantes de fragile beauté et de réalisme.

C’est cet univers qu’elle vous propose de découvrir pour partager des idées, des envies, des conseils, du savoir-faire. Émeline réfléchit déjà à ouvrir des ateliers en début d’année prochaine, histoire -aussi- de créer du lien.

O l’artiste, 31 rue de Casseneuil. Ouvert du lundi au samedi de 9h à 18h30 (à partir de 14h le lundi). 05 47 66 51 18.


DARJEELING, 4 rue de Paris

L’offre en lingerie féminine s’étoffe dans la bastide. C’est Nathalie Tovo, villeneuvoise de toujours, qui en est à l’origine. En ouvrant à Villeneuve-sur-Lot le premier Darjeeling, filiale 100% française de la célèbre maison familiale Chantelle, elle a fait le pari de la féminité, pour toutes, et à prix abordables.

De la corsetterie sexy aux classiques plus sages, des ensembles affriolants aux collections seconde peau ou à celles qui redessinent la silhouette, elle a choisi de miser sur les tailles afin de s’adapter à toutes les morphologies et tous les âges. Les soutiens-gorge vont du bonnet A à H et les bas jusqu’à la taille 46 dans certaines collections, avec un point commun : la qualité des textiles et de la fabrication.

Pour le jour ou la nuit, sans oublier les gammes de collants, les collections séduisantes en dentelle, satin, soie, voile, stretch ou coton, sont disposées autour d’un îlot central dans un bel espace de 63 m2 paré de couleurs sobres et à l’épuré contemporain. C’est là qu’officie désormais Nathalie, aidée de Mariana ; une reconversion mûrement réfléchie -et semble-t-il déjà réussie- pour celle qui a exercé trente ans dans un office notarial.

Au fait ! La boutique ouvre demain, jeudi 9 novembre !

Du mercredi au vendredi de 10h à 12h30 et de 13h30 à 19h. Le mardi, à partir de 9h30. Le samedi : ouverture non-stop de 9h30 à 19h.


LA CONFRÉRIE DES MÉTIERS D’ART

C’est une boutique un peu particulière qui ouvre ce samedi 21 octobre, à Villeneuve-sur-Lot. Celle tenue et animée par des artisans d’art et des professionnels des métiers d’art. Ils sont peintre, céramiste, tourneur, créateur de luminaires en matériaux recyclés, décorateur ou restaurateur d’objets anciens et travaillent le bronze, le cuir, le verre, la toile, le bois, la terre, la matière. Leur particularité, tous sont confrères et consœurs de « La Confrérie des Métiers d’Art », une association collégiale où chacun se partage responsabilités, missions et passion du travail fait-main. Solitaires chacun dans leur acte de création ou de restauration, ils sont solidaires dans la transmission des savoir-faire et des valeurs d’entraide.

Une page s’est tournée lorsqu’ils ont quitté Pujols le haut ; un nouveau chapitre s’ouvre à eux sur le parvis de Sainte-Catherine, dans un lieu déjà dédié à la création. Là, ils exposeront et vendront à l’année des pièces issues de leurs productions, mais aussi celles d’artistes ou d’artisans invités, le temps d’offrir à leur talent une magnifique vitrine devant l’édifice le plus photographié de la Bastide. Cette localisation, ils comptent bien en profiter pour s’impliquer dans les manifestations et la vie du centre-ville, être force de proposition et même de transmission puisque certains ont reçu le titre de Maître-Artisan, la plus haute distinction dans le domaine, qui les rend à même de former des apprentis. 

Dans l’attente d’une présence sur les réseaux et d’une boutique en ligne qui ne sauraient tarder, ils sont ouverts du mardi au samedi, de 9h à 19h non-stop ; horaires qui devraient être encore élargis à l’approche des fêtes.  

3, rue Sainte-Catherine, 06 19 01 48 18.


LES SAVEURS DE MAZAGAN

Dans sa cuisine, Rachid El Farsi est un homme heureux. Et c’est au n°1 de la place de la Marine, à deux pas du cinéma, qu’il vient de reprendre en main son destin.

Avec l’ouverture il y a quelques jours de son petit snack Les Saveurs de Mazagan, il tente le tout pour le tout. "Ca passe ou ça casse".

Ajustant l’assaisonnement de ses marinades avec ce qu’il faut d’épices venues tout droit d’El Jadida la belle – anciennement Mazagan – la terre de ses ancêtres, il accepte de revenir sur son histoire.

Celle qui a débuté il y a quelques décennies, plus au Sud, lorsque toute juste sorti de l’école hôtelière de Marrakech, il devient chef de rang dans des maisons étoilées. Plus tard, il sera chef du service et de la cave du Château Lalande à Saint-Sylvestre, jusqu’à ce que de gros ennuis de santé le rendent inapte à ces fonctions. Démuni, il accepte alors un travail de nuit dans une usine locale. Il y restera 20 ans.

L’envie de revenir à ses premières amours et l’accompagnement de la BGE l’ont poussé à racheter ce fonds de commerce et se lancer, modestement, dans la cuisine. « Ce n’est pas un fast food, précise-t-il, il faut un peu de patience » pour voir sortir ses viandes marinées et grillées sur plaque, surtout de la volaille 100% française, des kébabs, des tacos, mais aussi des croque-monsieurs, nuggets et autres salades fraîches, à déguster sur place ou à emporter.

Seul aux manettes, Rachid ne ménage pas sa peine. Villeneuvois et fier de l’être, il demande juste à reprendre sa place. Et relever la tête.

Ouvert 7j/7 de 12h à 14h30 et de 18h à 23h.

Tarif spécial étudiants.

06 04 67 51 79


LU.LU, concept store

Elle s’appelle Lucille, mais tout le monde l’appelle Lulu. C’est donc tout naturellement le nom choisi pour sa boutique, un concept-store mêlant vêtements, chaussures et bientôt déco. Car Lulu, c’est un rayon de soleil qui s’illumine à la vue d’une belle matière, d’une belle coupe, d’un bel objet. Elle a décidé de faire de ses coups de cœur son métier en proposant à ses clientes des pièces branchées où classiques, dénichées lors des salons professionnels du prêt-à-porter ou de la chaussure. 

Chez elle, les modèles sont uniques, c’est-à-dire proposés en une seule taille du 36 au 41 pour la mode femme ; idem pour les pointures hommes et femmes. En clair, peu de chance de croiser les mêmes modèles dans les rues de la bastide ! 

Sacs en cuir et en toile mais aussi objets et bougies senteurs de maison rejoindront prochainement ses rayonnages, dans un espace totalement zénifié et chaleureux. Exit les peintures rouges de ce qui fut André pendant huit ans et dont elle avait repris la franchise. Place aux tons naturels, olive et bois, place à la douceur et au bien-être… Rien de plus normal après une carrière de 22 ans chez un spécialiste local du confort médical.

Au fait : LU.LU, ça se prononce Lu point Lu… Vu ?

Ouvert du mardi au samedi, de 10h à 12h30 et de 14h à 19h. 25, rue Sainte-Catherine (à côté de l’Instant Thé)


BOULANGERIE-BRIOCHERIE

Baguette traditionnelle, croustinette, croustigraines, pain complet, au maïs… de bonnes odeurs s’échappent depuis ce week-end du n°19 boulevard Georges-Leygues, à deux pas des brasseries. C’est le local choisi et magnifiquement refait à neuf, en pierre et bois, par Fadila Achahboun. Villeneuvoise de toujours, la jeune femme a le sens du commerce mais surtout celui de la restauration et de la boulangerie dans les veines. C’est même une histoire de famille qu’elle perpétue avec ce commerce dont elle rêvait.

Pour tenir son établissement, en plus des vendeuses Amandine et Caroline, elle s’est entourée de deux boulangers, le jeune Jimmy et Romain, lequel totalise 20 ans d’expérience et l’envie folle de se mettre au pétrin. Pour le pain, bien sûr, mais aussi les brioches. Car ici, pas de viennoiseries, mais des pains au lait moelleux et des brioches de toutes sortes : des joufflues, nature, aux fruits, au chocolat, à la crème pâtissière et également des tresses façonnées et lamées à la main dans le labo dès 4h du matin.

Tout y est frais et fait maison, de même que les en-cas froids du midi; un service qui sera amené à se développer en fonction de la demande.

L’ouverture officielle est prévue ce mercredi 11 octobre et une surprise attend les 50 premiers clients : ils se verront offrir une brioche individuelle. Avis aux gourmands !

Ouvert du lundi au samedi de 7h à 20h.

Facebook Boulangerie briocherie Villeneuve-sur-Lot

La boulangerie a rejoint le programme Too Good To Go : pour lutter contre le gaspillage alimentaire, elle propose des paniers anti-gaspi avec les invendus du jour à prix cadeau, uniquement sur l’appli.


BEAUTÉ & HARMONIE, institut de beauté 

Un institut de beauté qui prend soin du corps et de l’esprit, c’est le concept de Beauté et Harmonie, situé au 5 cours Victor-Hugo. Delphine Holyst, Villeneuvoise de naissance, a racheté l’immeuble et le salon qu’il abritait pour y créer un nouvel espace de 150 m2, serein et souriant, à son image. 

En pleine conscience, elle a dit au-revoir à une première carrière de banquière puis de secrétaire médicale  pour se centrer sur l’essentiel et « revenir à l’humain » ici, dans la Bastide. Accompagnée de Laura, esthéticienne, qui y pratique toutes les prestations « classiques », soins visage, extension de cils, épilation, manucure, douche bronzante et autre cryothérapie, Delphine a ajouté sa touche. Son point fort, ce sont les soins du corps et les massages pour lesquels elle a été formée. Dans une salle dédiée, à l’atmosphère apaisée et apaisante, c’est là qu’elle officie, dans le partage. Désireuse de renforcer encore le bien-être extérieur et intérieur, le salon qu’elle a ouvert il y a trois semaines à peine, devrait même proposer de la sophrologie.

D’ici là, la « dame aux hibiscus », ceux qu’elle a choisi, flamboyants, pour parer sa vitrine, se sent confiante. « Aujourd’hui, je suis là où je dois être, tout simplement ». Une harmonie que devraient ressentir ses clients, femmes et hommes, car l'institut est mixte. 

Ouvert le lundi de 14h à 18h. Mardi, jeudi et vendredi de 9h30 à 18h non-stop. Mercredi de 9h30 à 12h30. Le samedi de 10h à 16h. 

Contact : 05 53 40 03 71. Sur facebook et Instagram.

20% de remise sur présentation de la carte étudiant.


L’INDUS, bar discothèque

Sébastien Cossigny est artisan peintre le jour, patron de discothèque la nuit. Une vie à 100 à l’heure qui convient bien à cet hyperactif. Il vient d’ouvrir L’Indus, sur la zone de La Barbière, la seule boîte de nuit de Villeneuve-sur-Lot. 

Là, dans un local fraîchement repeint de 160 m2, pourvu d’une terrasse en plein air de 120m2 bordée de palmiers, il rode depuis quelques jours son nouveau concept : ouverture à 17h30 le jeudi, vendredi et samedi pour des afterworks entre collègues, avec planches froides ou huîtres et ambiance musicale lounge. L’entrée est gratuite, de même qu’à partir de 22h jusqu’à minuit, tranche horaire de l’happy hour, avec des réductions sur les verres et les bouteilles. À 00h00, autre ton, autre ambiance : ouverture de la boîte de nuit jusqu’à 5h, avec des sons des années 90-2000 jusqu’à aujourd’hui. Pour que la fête soit belle et sereine, il s’est entouré de deux portiers, d’un DJ à demeure et de trois serveuses. 

Après avoir repris en 2008 le bar de nuit Kfé Kfé sur la rive gauche, puis ouvert le restaurant-bar Le Quatre, place de la Libération en 2016, il a opté pour la périphérie. « Cela évite les nuisances sonores pour le voisinage et il y a largement de quoi stationner ».

Pour l’heure, Sébastien peaufine son inauguration officielle et travaille activement à sa première grosse soirée, le 12 octobre baptisée « Ladyes Night ». Avec l’entrée gratuite pour les filles et un drink offert avant minuit, gageons qu’il va rapidement gagner son public, en manque de dance-floor dans la Bastide.

L’Indus, 193, rue Paul Langevin à Villeneuve-sur-Lot. Sur facebook et Instagram.


MICHEL LABAT, chocolats et macarons

Les gourmands vont en prendre plein les mirettes… et le palais ! L’artisan chocolatier Michel Labat vient d’ouvrir à Villeneuve sa nouvelle boutique au 26 de la rue Sainte-Catherine. Historiquement basé à Valence d’Agen où il conserve la production avec deux salariés, il avoue avoir eu un coup de cœur pour la bastide et sa rue sainte-Catherine. « J’ai su que ce serait là, et nulle part ailleurs ». 

Entouré de Sylvie la responsable et Gaëlle à la vente, en ce jeudi matin d’ouverture, il parcourt avec fierté ses vitrines où trônent les macarons, son produit-phare. Des parfums « classiques » aux fruités (orange, passion, citron…) en passant par les floraux (rose, violette) ou les plus insolites (crêpe dentelle caramel ou menthe-choco), pas moins de dix-huit variétés sont à déguster.  

Et puis il y a le rayon chocolat. Sa création signature et déposée, « le fagot », y figure en bonne place. Inspiré du rond de serviette, il abrite onze barres aux différentes saveurs de chocolat grand cru.  

On trouve aussi des sachets et des ballotins de différentes tailles pour découvrir feuilletines et languettes, amandes et rochers enrobés, mendiants, palets panachés et autres orangettes. Noir, blanc ou lait, il y en a pour tous les goûts, de la tendre ganache au carré croquant. 

Passionné et créatif, Michel Labat croit en Villeneuve ; et les Villeneuvois croient en lui à entendre les premiers clients matinaux qui l’attendaient avec impatience et… gourmandise ! 

26, rue Sainte-Catherine. Ouvert du lundi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 15h à 19h – Le samedi, de 9h à 13h et de 15h à 19h. Facebook : Michel Labat Chocolats/macarons 

"CHEZ MOI"

Un « bistro-resto » d’un genre nouveau vient d’ouvrir ses portes aux 35-37 de la rue des Cieutat. Il propose une cuisine traditionnelle, exclusivement de produits frais et locaux, servis dans une belle salle à l’ambiance « Steampunk » ; une déco design, déroutante et de bon goût, qui oscille entre le rétro et l’industriel. 

Au départ, c’est l’histoire d’une rencontre. Celle entre Lyes Djelaoui et Philippe Finsterbach, tous deux propriétaires d’immeubles dans la rue des Cieutat qu’ils ont réhabilité pour accueillir des locataires à l’étage et des commerces en rez-de-chaussée. Entrepreneurs et bons vivants, ils ont décidé de poursuivre l’investissement ensemble. Leur nouveau projet, baptisé « Chez moi » est à leur image ; un mélange de rigueur et de fantaisie, de sérieux et de douce folie. Complices et complémentaires, ces deux-là ont le goût du challenge : celui d’œuvrer pour décrotter la rue des Cieutat. « Nous suivons de près les projets de la Ville pour le quartier. Nous voulons être la cheville ouvrière d’une activité commerciale nouvelle et contribuer à redonner confiance en cette rue », assurent-ils. 

Le duo de compères – qui a recruté quatre salariés- a choisi de confier l’office à Stéphane Lévignat, un jeune chef périgourdin. Adepte de la cuisine de terroir, goûteuse et pêchue, il adore les associations osées qui flattent le regard et séduisent les papilles. Outre ses plats, présentés sur l’ardoise du jour midi et soir, on y trouve également ses planches apéritives à déguster dans la salle climatisée ou en terrasse, rendue apaisée par la fermeture de la rue à la circulation. 

Pour l’heure, le pari semble réussi, même s’ils demandent un peu d’indulgence le temps du rodage… Chez eux, c’est « Chez Moi » et ils souhaitent que vous y soyez comme… chez vous ! 

Ouvert 7j/7, de 7h à 22h. Tél : 05 53 71 56 01. 

LE COMPTOIR DE NAWEL, produits capillaires et esthétiques.

C’est le nouveau repaire de celles qui aiment leurs cheveux, du plus raide au plus crépu, du plus fin au plus dense. Pour les conseiller et les guider, Nawel vient d’ouvrir un comptoir à son nom au 24 de la rue de la Fraternité. Shampoings professionnels, soins hydratants, masques nourrissants, défrisants, coloration classique ou végétale dans toutes les nuances, la boutique présente une large gamme de produits de coiffure de toutes marques, pour les professionnels et les particuliers. 

Spécialiste du cheveu abîmé, Nawel est au service de toutes les têtes. Elle propose des extensions, synthétiques ou naturelles, à clip, à la kératine, à lissage ou adhésives, des mèches, des braids (ces tresses afro tendance) mais aussi des perruques, sur place ou sur commande en 24h. Ici, pas de pose ; pour cela, il faut prendre rendez-vous cher un coiffeur ! 

Bien entendu, on y trouve aussi tous les accessoires pour embellir sa coiffure : bijoux pour cheveux, barrettes, pinces, bandeaux, brosses, ainsi qu’une petite gamme de maquillage. 

Bienveillante et chaleureuse, Nawel s’attache à proposer des articles à des prix accessibles pour se sublimer sans se ruiner. Une reconversion réussie pour cette Strasbourgeoise de naissance, ancienne prothésiste ongulaire après une carrière dans le service public et qui songe déjà à ouvrir un deuxième établissement dans le 47… 

Ouvert du mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 19.  

06 37 29 37 48. Facebook Le Comptoir de Nawel 

LE SUKANI SUSHI CHANGE DE BOUL’ 

Après cinq ans sur le boulevard Georges-Leygues, le restaurant japonais Sukani Sushi pose ses baguettes au 34 de celui de la Marine. Et c’est toujours Abouba Siby, dit « Abou », à la fois propriétaire des murs et chef sushi, qui officiera en cuisine. En plus du menu, un brin modifié, il proposera à la carte sushis, sashimis, makis, california rolls, spring-rolls sans oublier soupes, desserts, plats chauds et ses propres créations, entre temputa et tataki. Les clients pourront également retrouver les box à partager de 14 à 46 pièces. 

Le thon, la dorade et le saumon label Rouge sont livrés frais et découpés sur place. Si c’est l’un des grands plaisirs d’Abou, c’est aussi par là que tout a commencé pour ce jeune malien d’origine. Tout jeune, c’est à Toulouse qu’il fera ses premières armes dans la restauration traditionnelle, passant rapidement de la plonge aux entrées puis aux plats avec une spécialité : le travail du poisson. En huit ans, il devient un « pro » de la découpe et se fait embaucher dans un restaurant japonais. Formé par un maître sushi, il a la révélation. Entre les belles rencontres et les hasards devenus des opportunités, il passe de Balma à Villeneuve-sur-Lot et c’est l’effet waouh ! Il y créera le premier Sukani en 2017, puis un autre en 2019 à Bergerac, et remet le couvert dans ce nouveau local. Plus spacieux, mieux équipé et joliment décoré, il lui permettra d’assouvir un autre rêve : œuvrer devant les convives. « Je suis passionné mais aussi courageux, je me lève tous les matins pour travailler avec la joie dans le cœur, au service des clients qui sont devenus mes amis ». On lui en souhaite plein d’autres, dès demain soir vendredi 4 août pour l’ouverture. 

Sukani Sushi, sur place ou à emporter. 
Du mardi au samedi de 11h à 14h et de 17h à 22h. Le dimanche, de 17h à 22h. 
06 18 15 28 10 

LA BUONA CANTINA 

Il s’appelle Amédéo Pagliaro. C’est un « italiano vero ». Et c’est la culture culinaire de la Botte qu’il propose à Villeneuve-sur-Lot à compter de ce samedi 29 juillet. Artisan glacier à ses débuts, ce Sicilien de 26 ans s’est ensuite spécialisé dans les foires à thème et c’est ainsi qu’il a découvert la Bastide, lors du marché italien. Il y a aussi rencontré l’amour. Aux flancs agités de l’Etna, il a alors préféré la douceur de la vallée du Lot ; des stands saisonniers, il est passé à la boutique. La sienne est belle et accueillante. Le concept a la convivialité et la diversité de la Péninsule : bar à vins, bar à l’italienne, « gelateria », et épicerie fine. On y trouve donc en belle place ses glaces artisanales et naturelles, des « gelati » avec douze parfums, des fruits de saison locaux au tiramisu maison ou à l’amarena pour ne citer qu’eux, qu’il fabrique sur place entre 4h et 7h du matin.  

Les vins, rouges et autres pétillants, sont à déguster à table sur place ou à emporter, tout comme la charcuterie et les fromages, proposés en planches apéritives ou dinatoires. Les jambons de parme suspendus à l’ancienne y côtoient speck, coppa, mortadelle, guanciale et speck, tandis que les meules de parmesan voisinent avec les poires de Caciocavallo, le provolone au lait de vache ou encore le pecorino romain ou sarde au lait entier de brebis. 

Amédéo l’avoue : il ne proposera pas de pizza. « C’est un vrai métier, ce n’est pas le mien. Pas encore ». Travailleur et ambitieux, il ne se ferme aucun porte, bien conscient d’être en train d’écrire à Villeneuve « una storia importante ». 

34, place Lafayette. Ouvert 7j/7 de 8h à 23h (22h en hiver) 

CHEZ CHARLOTTE, FRIPES ET BROC 

Elle est fantaisiste, artiste, assurément atypique, mais la tête bien vissée sur les épaules. Marie-Charlotte Del Rosso a ouvert cet été la seule friperie vintage de Villeneuve-sur-Lot. Un beau mélange de pièces 100% rétro, des habits aux accessoires en passant par les objets, qu’elle chine à la pièce, avec un œil aiguisé de passionnée. Après des années à écumer les marchés et les salons vintage avec sa caravane, elle tient désormais boutique rue de Casseneuil. Si sa vitrine est déclinée en rose -clin d’œil appuyé à la star de l’été : la sexagénaire Barbie-, à l’intérieur, tout est classé par couleur et par décennie, des années 50 à 2000. Adeptes du style pin-up glamour, baba cool des seventies où tout simplement des belles choses avec une histoire, voici le lieu pour dénicher des trouvailles uniques, made in France, Royaume Uni ou USA et à des prix sympas. 

Repérée lors de « Crée ta boîte en un jour » organisé par l’Agglomération du Grand Villeneuvois, puis lauréate de « Mon incroyable commerce » lancé par le SMAVLOT, Marie-Charlotte travaille sur de nouveaux projets. Elle qui fait du spectacle burlesque, entend proposer de la location de valises vintage pour des salons ou des animations. Attention : ses articles ne sont pas des déguisements mais bien des pépites de seconde main choisies avec soin, du « vrai ancien », qu’elle vend également en ligne, sur Vinted, Etsy ou via son compte Instagram ChezCharlotteVintage. 

21, rue de Casseneuil (en lieu et place de L’Art est Public qui a déménagé au 40 place Lafayette). Ouvert du mardi au samedi, de 10h à 12h30 et de 14h à 19h, le jeudi : non-stop le jeudi.

LE BISTROT DE LA PLACE 

L’emblématique Jeanne-D’Arc du parvis vient de rouvrir ses portes. C’est Mohand Djeddi, jeune quadragénaire qui en a fait l’acquisition, séduit par la ville autant que par le site. Lorsque ses yeux clairs se posent sur l’église Sainte-Catherine qui se dresse devant sa terrasse, son sourire s’élargit. « Cette vue, je ne m’en lasserai jamais ». C’est donc là qu’il vient d’inaugurer le Bistrot de la place, son troisième établissement. Il y propose café-bar à toute heure, une petite restauration avec les produits du marché le midi –plat du jour et grillades- et des tapas le soir, avec des animations ponctuelles. 

Parisien d’origine, Mohand a évolué dans le milieu de la restauration et testé tous les postes : la cuisine, apprise aux côtés d’un « ancien », le bar et le service, animé par l’envie permanente de faire plaisir. Une passion qu’il concrétisera à 26 ans par l’achat d’un premier établissement dans le 18e arrondissement et qu’il tiendra pendant près d’une décennie, puis par celui d’une brasserie dans le 19e pendant huit ans. 

La crise sanitaire l’a décidé à changer de cadre de vie. Après Montmartre et les Buttes Chaumont, c’est sur la Bastide qu’il a jeté son dévolu. « J’aime sa vie, son ambiance, son patrimoine. Ici, je veux créer du lien avec les habitués du petit noir du matin, les jeunes qui échangent, les familles, les touristes, bref en faire un lieu sympa où l’on se sent à l’aise et détendu. Comme chez soi ! ». 

Le Bistrot de la place, parvis Sainte-Catherine, est ouvert tous les jours de 7h à 23h. 

« LA BOUTIQUE DE NATI » 

Encore une belle histoire d’alignement des planètes. Nati, hier encore vendeuse de la Maison Roucadil, vient de se lancer en solo et d’ouvrir sa première boutique en cœur de ville. Elle y met en avant les produits de la Ferme Coste, celle tenue par son mari Philippe sur les coteaux d’Anthé. Là, il élève des porcs en plein air, Label Rouge, nourris exclusivement avec les céréales produites sur l’exploitation et proposés jusqu’alors sur les marchés. Désormais, jambon sec, saucisson, chorizo, coppa, lomo et autre jambon blanc sans nitrite sont vendus par Nati, de même que les confits, sautés et pâtés parfumés de la ferme. 

Ouverte aux bons produits, elle propose aussi ses coups de cœur : des vins de producteurs, de la bière made in Penne d’Agenais, de l’huile d’amandons de pruneaux de Pujols, du café torréfié au feu de bois à Vitrac et annonce l’arrivée prochaine du sucré, des fruits secs et des planchas... 

Si l’idée lui trottait dans la tête depuis quelque temps, l’opportunité de la vacance du local a hâté les choses avec une évidence : s’installer à Villeneuve-sur-Lot et nulle part ailleurs, « une ville de caractère qui se bouge, souriante et séduisante ». Comme elle. 

41, rue des Frères-Clavet. Ouvert de 9h à 12h30 et de 14h à 19h (18h30 le samedi). 

LES COMMERÇANTS DES ALLÉES GOURMANDES
TENDANCES ET TRADITIONS : LE VRAI GOÛT DU PAIN 

Ils font partie des nouveaux artisans installés sous la halle, mais ce ne sont pas des inconnus à Villeneuve. Laëtitia et Ludovic Fortier, patrons des trois boulangeries-pâtisseries Tendances et Traditions sur les deux rives du Lot, ont accepté de relever ce nouveau défi avec l’aval de toute leur fidèle team. Pour le maître artisan boulanger, voilà une nouvelle vitrine du savoir-faire de son équipe : on y retrouve donc de savoureuses viennoiseries, mais aussi une farandole de gâteaux pâtissiers comme les éclairs, religieuses, babas, Paris-Brest, etc. Sans oublier la « boulange » : pains spéciaux, tradition, complet, maïs, müesli et des nouveautés comme l’époka, graines de courge, de chia, kapnor… pour avoir le vrai bon goût du pain. 

À découvrir aussi l’espace « snacking » chaud ou froid, avec des formules entre 6 et 8 euros à emporter ou à déguster sur la terrasse en accès libre, la plus prisée de la Bastide.  

C’est Émilie qui tient la boutique, ouverte du mardi au samedi de 7h30 à 14h (et le dimanche matin en juillet-août).

LES ALLÉES GOURMANDES ONT ROUVERT 


La nouvelle était attendue : Les Allées Gourmandes ont rouvert ce jeudi 1er juin. Les villeneuvois sont venus en nombre savourer ce bel espace de la rue Lakanal. Si le concept reste fidèle aux valeurs portées depuis l’origine par son gérant Damien Christ, avec des produits locaux et de qualité, la nouveauté vient de l’agencement et des améliorations, suggérées en partie par la clientèle.  

On y retrouve d’un côté la partie restauration, redimensionnée, dont la cuisine est davantage axée sur les produits du marché et dotée d’une cave à vins. Ce sont désormais des restaurateurs de métier qui sont aux manettes ; ils y organiseront des animations ponctuelles et annoncent déjà le retour du brunch du dimanche matin… 

De l’autre côté, s’étend la partie « marché » avec de nouveaux artisans du territoire : un coin boulangerie-pâtisserie assuré par Tendances et traditions, un étal fruits et légumes 100% locaux à prix direct producteurs, sans oublier la boucherie et la fromagerie avec des produits issus de la Ferme du Vignal. D’ici un mois, l’épicerie fine alimentaire ouvrira à son tour ; poissonnerie et nouvel espace snacking devraient suivre dans un troisième temps. 

Et la terrasse ? Toujours aussi belle, ombragée et pourvue de brumisateurs. Une partie est réservée au restaurant, l’autre côté sera en accès libre. « Elle n’est pas privatisée, rappelle Damien Christ. Mon souhait est vraiment que les Villeneuvois et les touristes en profitent librement. Ils peuvent acheter les produits sur les étals ou au bar et venir les déguster face au Lot, ou tout simplement s’y assoir, pour savourer l’instant et la vue sur le Lot ». Les allées gourmandes : un nouvel art de vivre, 100% plaisir, 100% Villeneuve-sur-Lot.

Le restaurant fonctionne du 1er juin au 30 septembre, de 9h à minuit 7j/7. Le marché, quant à lui, ouvre du mardi au samedi de 7h30 à 14h, puis le dimanche matin en juillet-août.

LES RESTOS DE LA CALE :
QUAI DES BARRIQUES : L’ESCALE GOURMANDE  


Ils viennent d’accoster ! Florent Kouassi a missionné son équipage culinaire, pour la troisième année consécutive, à la cale de la Marine. Dans un esprit « bistrot des amis », ce resto décomplexé entend devenir le repaire de la gourmandise et de la convivialité. Les salades complètes et variées voisineront avec les produits du terroir, leur marque de fabrique : magrets, confits, brochettes et autres entrecôtes seront toujours les stars de l’assiette. Autre objet de tentation : les planches à partager, pour ne plus choisir entre charcuterie, fromage ou veggie lors des afterworks, à déguster, pourquoi pas, sur la grande table en chêne collective…   

C’est Cynthia qui tiendra la barre de l’établissement, Alex sera au service et Ellian officiera, comme à son habitude, à la cambuse et fera évoluer les plats au gré de la saison et des clients. Aux beaux jours, du renfort étudiant amènera du rythme à ce bel espace franco de port qui aurait pu s’appeler… les copains d’abord.  

Réservations : 06 12 62 62 61

LES RESTOS DE LA CALE :
LE TERMINUS : BRASÉRO ET APÉROS 


Le Terminus ne veut plus tourner le dos au Lot. Lorsque Nicolas Weilenmann a appris que la mairie relançait un appel d’offre pour l’un des trois restos de la Cale, il n’a pas hésité une seconde. Sur ce spot magnifique, il s’apprête à dégainer son arme de séduction culinaire massive : le braséro. Le menu du midi, décliné le soir, ne sera que bonne chère, produits frais et locaux si possible où légumes de saison côtoieront viandes juteuses et grillées en direct et avec amour. 

Côté personnel, rien ne sera laissé au hasard non plus : c’est Jean-Pierre Carrère qui sera responsable du site avec Nathalie pour cheffe de cuisine, elle-aussi, une ancienne du Glacier ; l’équipe du Terminus de la rive gauche sera détachée à la Cale pour compléter l’activité en saison. 

Tous rêvent déjà des planchas grésillantes d’entrecôtes, de cœurs de canard et autres chistorras, des apéros gourmands et des soirées thématiques. Car le patron, en bon épicurien, a décidé de relancer à sa façon les « Mercredis de la Cale » en organisant des soirées conviviales autour de bons plats.  

La Cale du Terminus tentera une ouverture ce vendredi, mais il se pourrait bien qu’il faille attendre le retour du soleil pour profiter pleinement de son coin lounge aménagé dans un coin nature, et de son beau braséro made in local, fabriqué par SML Sainte-Livrade… 

Réservations : 05 53 36 92 80

LES RESTOS DE LA CALE : 
GOURC JOUE SUR L’EFFET MER 


Son équipe est prête et se joue de la météo. Emmené par Laurenne, le « Restaurant de la Cale by Frédéric Gourc », ouvre ses tables ce jeudi soir, face au Lot. Pas de menu affiché sous la terrasse couverte, juste une carte et des suggestions iodées et ultra-fraîches selon arrivages. Car avec Frédéric Gourc pour patron, poissonnier de père en fils depuis plusieurs générations, la carte est forcément du jour et marine.  

Les fans de poisson cru y trouveront leur bonheur tout comme les friands du classique moules-frites, de l’assiette d’huîtres ou de la grande parillada à partager (ou pas), sans oublier les amateurs de plateaux de fruits de mer (sur commande). 

Pour mener la barque en cuisine, c’est Maxime qui officie cette année. Originaire de Fongrave, cet ancien de la Table des Sens entend mettre ses dix ans d’expérience au service d’une table gourmande et moderne, raffinée et savoureuse.  

Pour l’heure, ils sont quatre ; en plein cœur de la saison, ils seront six jusqu’en milieu d’automne. Et comme chaque année, dès que les vents souffleront, ils s’en alleront. 

Réservations : 06 82 04 59 44 

Restaurant « Chez Charly »

38, rue des Frères-Clavet (entre la rue Sainte-Catherine et celle des Girondins).

Ouvert du mardi soir au dimanche midi. 
Une nouvelle adresse à connaître en cœur de ville, rue des Frères-Clavet : le restaurant « Chez Charly ». À la manœuvre, Charles Wilson, un visage bien connu des gourmands de la Bastide puisqu’il a exercé dans les cuisines du Glacier ou encore à la pâtisserie du Buffet Gaulois. Cette fois, c’est seul qu’il se lance, avec une particularité culinaire inédite dans la bastide : la viande maturée.  
Dans sa cave de maturation, pièce maîtresse de l’établissement, température et humidité sont sous surveillance millimétrée. Là, des côtes de bœuf Blonde d’Aquitaine, Salers, Simmental ou encore d’Aubrac patientent, s’affinent, se concentrent lentement en sucs. Dans l'assiette, la viande sera tendre, savoureuse, chargée en arômes et saveurs. 
Devant son piano ouvert sur une salle de 24 couverts aux couleurs apaisantes, l’homme est heureux. Préférant l’appellation de « cuisinier » à celle de « chef », Charles qui cultive l’humilité se définit comme « un passionné amoureux des fondamentaux : une cuisine française traditionnelle, simple, bonne et efficace ». 
Guidé par les saisons et l’inspiration, il proposera aussi des volailles rôties sur ses formules du midi entrée-plat ou plat-dessert pour 15 euros et une carte le soir. 
Encouragé par sa compagne Odile et accompagné de Vanessa au service, Charles a hâte de faire plaisir et recevoir ses premiers clients dans son établissement qui a ouvert ses portes ce mercredi 5 avril. 

CAPRICES

27 rue de Paris

Mais où s’arrêtera-t-elle ? Ingrid Guardini ne semble pas avoir de limites. Amoureuse des villes en bord de Lot, après Sainte-Livrade et Saint-Sylvestre, elle vient d’ouvrir une nouvelle boutique à Villeneuve ce mercredi 29 mars. Elle y revendique sa liberté, celle de choisir ses collections dans des marques qu’elle affectionne et, surtout, de ne pas appartenir à une chaîne.
Dans son joli magasin de 55m2 d’espace de vente, elle habille toutes les tailles, du 34 au 50, aussi bien les femmes que les hommes. Du chic au casual « facile à porter », Caprices propose du Paul Brial comme du Morgan ou Lola Espeleta, sans oublier tout un tas d’accessoires, bijoux de créatrice, foulards, sacs et quelques chaussures, à tous les prix.
Ingrid a choisi de confier les rênes de sa boutique à Clotilde, bien connue des shoppeuses villeneuvoises, désireuses de suivre, dans la bastide, les nouveaux « caprices » de la mode.

Ouvert du mardi au vendredi de 10h à 13h et de 14h30 à 19h. Le samedi, de 9h à 13h et de 14h à 19h.
www.boutiquescaprices.com /Facebook


« HELLO MA » CHANGE DE TROTTOIR !

Hello Ma, c’est la boutique 100% déco éco-responsable de la très créative et chaleureuse Marianne Polgaire. Fidèle à Villeneuve et au centre-ville, elle vient de déplacer sa boutique… pile en face de son ancien magasin, au 41 de la rue Sainte Catherine. Après avoir cassé les murs, elle a presque doublé sa surface pour proposer, sur 120 m2 avec mezzanine, un concept-store réunissant trois univers : la boutique maison déco, l’univers enfant, les cadeaux et le « zéro-déchet », mais aussi un atelier pour partager et transmettre ses idées bricolage et enfin, un studio de design puisque Marianne poursuit sa collaboration en tant que styliste avec des enseignes de textile et de papier-peint.
Comme un poisson dans l’eau au milieu de ses coups de cœur et autres surprises qu’elle entend proposer à des prix accessibles, elle travaille déjà à ses prochains ateliers adultes bimensuels pour bricoler entre passionnés et créer du lien. Tout ce qu’elle aime !
« Hello Ma » est ouvert du mardi au samedi de 10h à 12h30 et de 14h30 à 19h.


Boulangerie d’Eysses

256, avenue du général de Gaulle

Elle est un commerce incontournable du quartier : la boulangerie d’Eysses, en face de la boucherie Gomès, a changé de mains, discrètement. Et c’est désormais sous le nom de Denizart Lardeau, du nom de ses nouveaux propriétaires Philippe et Corinne, qu’elle a repris du service.
Philippe, pâtissier-tourier de formation, exerçait auparavant dans l’Oise, près de Chantilly (ça ne s’invente pas !) où il a tenu une boulangerie pendant quelques années avec son épouse. Des amis, installés dans le coin, leur ont donné l’envie de poursuivre le métier chez nous, à Villeneuve-sur-Lot. Et c’est en famille qu’ils ont débarqué à Eysses, en début d’été, pour cette nouvelle aventure.
Dans leur boulangerie pâtisserie, tout est fait maison, du pain aux viennoiseries bien dodues, en passant par le snacking. Ils mettent aussi un point d’honneur à utiliser des produits locaux : la farine provient du moulin de Bidou, le beurre de la laiterie du Temple, les fruits rouges, les noisettes, le miel : tout est made in 47. Tout, y compris l’équipe, qu’ils ont reprise en totalité : Laurence la vendeuse, Dominique le boulanger et Philippe l’apprenti-boulanger. Ils sont aussi entourés par Augustin le commis et par Baptiste, en première année de CFA boulanger, qui n’est autre que leur fils… Une belle histoire familiale de transmission de savoir-faire et, peut-être, la future relève !

Ouvert du mardi au samedi de 6h30 à 13h et de 15h30 à 19h30. Le dimanche, de 6h30 à 13h.


Reprise de la Belle Jardinière

178 avenue du général de Gaulle

Ils cherchaient le bonheur… ils l’ont trouvé à Villeneuve-sur-Lot. Rodolphe Müller et François Yvart ont repris il y a quelques mois la Belle Jardinière, l’établissement emblématique de la halle d’Eysses. Et ça leur va bien.
Après un quart de siècle en région parisienne dans le droit et la finance européenne pour l’un, et le commerce de café, de fromage ou de fruits et légumes pour l’autre, l’envie de devenir entrepreneurs les a rassemblé. Il ne cherchaient pas une région particulière, mais plutôt une affaire, celle qui les ferait craquer. Et c’est ici même, dans la Bastide, qu’ils ont concrétisé leur projet et déménagé leur vie.
Dans la boutique, s’ils ont repris l’équipe de trois salariés, tout a été refait et réagencé des murs au plafond en passant par le mobilier pour apporter une touche plus contemporaine. Attachés à la qualité et à la fraîcheur, les partenaires -qui sont livrés chaque jour- entendent proposer le meilleur rapport qualité-prix. Dans leur beau magasin, l’épicerie traditionnelle voisine avec l’épicerie fine, les fruits secs ou frais et les légumes, sans oublier de nouvelles gammes, des coups de cœur gourmands et insolites, parfois dénichés localement, parfois plus loin. Pour séduire, surprendre, faire plaisir et apporter un vrai « plus ». Du « plus », les clients en ont déjà, puisque les livraisons à domicile ont repris en matinée, de même que la zone dédiée aux clients professionnels. Un drive est même dans les tuyaux pour fin février.
Plus provinciaux que parisiens, les deux quinquagénaires ont déjà remplacé dans leur vocabulaire « pain au chocolat » par « chocolatine », un bon début.

La belle jardinière est ouverte 6j/7. Du mardi au vendredi de 8h à 13h et de 14h30 à 19h – non-stop le samedi, le dimanche de 8h à 12h. Fermée le lundi.
Facebook : @FYRM – 05 53 40 16 98


Maison Guilhem, boulangerie-pâtisserie

4, avenue Jacques-Bordeneuve

Et un… et deux… et trois fourneaux ! Ils sont infatigables, Mélissa et Rémi Guilhem. En ce jeudi 1er décembre, ils ouvrent à Villeneuve-sur-Lot leur troisième établissement. Une belle boutique dans laquelle trônent, parmi un large choix, leurs produits phares : la baguette « petit bonheur », « le pain du château » ou encore leur célèbre « casse-noisette », une mousse au chocolat avec un croustillant de noisettes de Cancon et un nougat au praliné… Vaillants et toujours à fond, ils ont installé en juin dernier un laboratoire de pâtisserie à deux pas de là : un local de 450 m², équipé de grands fours, batteurs, laminoirs, dresseuse et même d’une salle d’emballage pour leurs cakes et macarons maison, dans lequel officient cinq pâtissiers et un tourier. C’est là que se fabriquent les gâteaux, viennoiseries et autres entremets qui rejoindront, avant l’aube, leurs boutiques de Saint-Sylvestre et de Pujols, sans oublier le pain, servi dans de nombreux restaurants du territoire.
À la tête de la Maison Guilhem qui compte 35 salariés, Mélissa et Rémi -maître-artisan boulanger- savent qu’exigence, gourmandise et savoir-faire font des accords parfaits. En s’appuyant sur leur « super équipe », ils comptent bien le prouver, ici-même, dans la bastide.
Maison Guilhem, ouvert du lundi au dimanche de 7h à 19h jusqu’à fin janvier. Le dimanche, de 7h30 à 12h30.


Sylvie au naturel

41 rue des Frères-Clavet

Sylvie Luis a pris goût au centre-ville. Elle vient même d’y poser ses malles, remplies de trésors parfumés, bijoux, lainages, bougies, foulards, cosmétiques bios, peluches-bouillottes, sacs en liège et autres accessoires féminins. Mais cette fois, c’est pour longtemps.
Car après avoir testé le concept de boutique éphémère l’an dernier lors des fêtes, celle qui parcourt depuis toujours foires, salons et marchés, vient de faire le choix du durable. Son dévolu, elle l’a jeté sur une très jolie boutique lumineuse, dans laquelle elle a trouvé sans peine ses marques. Son petit plus pour faire la différence ? Sourire, gentillesse, conseil et prix très doux : un « lady store » au naturel, comme elle.
Ouvert du mardi au vendredi de 10h à 17h30 ; le samedi non-stop jusqu’à 18h30.

Le Comptoir à T'M

50, rue des Frères Clavet

Le Comptoir à T'M s'est trouvé un successeur, où plutôt une. Nathalie Roux vient de prendre les commandes de ce restaurant situé au n°50 de la rue des Frères Clavet, correspondant en tous points à ce qu'elle cherchait : une salle conviviale en cœur de ville, à taille humaine, avec une cuisine ouverte pour préparer devant les clients, comme elle aime faire.
Dernière d'une fratrie de dix pour qui la restauration est une tradition familiale, elle est de tous la plus aventurière. Tiraillée par l'envie de voyager, c'est à La Réunion que cette angevine de naissance créera son premier restaurant dédié à la cuisine du Sud-Ouest... De retour en métropole, elle s'installera en Vendée, et se consacrera à la cuisine traditionnelle... et aux sardines.
Aujourd'hui, c'est à Villeneuve-sur-Lot qu'elle a choisi de poser ses valises pour un concept frais et fait maison dans la lignée de celui des Pouwels. Aux plats du jour, tartes, salades, pâtes et desserts du midi, elle ajoute les galettes, mais aussi les crêpes à déguster toute la journée avec un thé ou un chocolat chaud. Pour la seconder, elle a fait appel à Thomas, un Villeneuvois qui a fait ses preuves au service dans différents établissement de la Bastide.
Le décor est identique, de même que le nom de Comptoir à T'M, avec un M comme Monique, clin d'œil à sa maman qui lui a tout appris.

Le Comptoir a T'M de Nathalie est ouvert du mardi au samedi, de 9h30 à 18h30. Sur place et à emporter.


LÉONIDAS CHANGE DE VOIX

Elle a le sens de l’initiative et le goût du travail. Du chocolat aussi. Mariane Lazzarini est officiellement, depuis aujourd’hui, aux commandes du magasin Léonidas. Cette serial entrepreneuse, aussi organisée que créative, chef de produit dans une grande enseigne villeneuvoise le jour, talentueuse chanteuse les soirs et week-ends, a été saisie par une soif de changement, une envie irrépressible de se réaliser, autrement. Et lorsqu’elle apprend que le fonds de commerce, situé en cœur de Bastide au 15 de la rue de Paris est à vendre, elle se renseigne et c’est le coup de cœur. De formations à Bruxelles au siège de la marque, en immersions pratiques dans le magasin pilote, la revoilà désormais dans la Bastide en tant que confiseur.
Pour l’épauler, elle pourra compter sur Catherine Buzaré, incarnation villeneuvoise de la marque belge depuis 2013. Ravie de cet heureux passage de relai qui rend sa retraite plus sereine, celle qui fut également présidente puis trésorière de l’UCAV, l’accompagnera en back office. Un renfort bienvenu à quelques semaines de la période gourmande des fêtes où il leur faudra mettre… les bouchées doubles !


BENETTON CHANGE DE MAIN

8, rue de Paris
La transmission s’est faite en douceur, à l’image de Marie-Christine Brunet sa précédente propriétaire. Depuis quelques jours, c’est Christelle Burgaud qui préside aux destinées de la marque italienne colorée, toujours située au 8 de la rue de Paris. Et elle y est bien. Car c’est un rêve de jeune fille qu’elle réalise. Après une longue parenthèse de treize ans dans le milieu du pruneau fourré, elle a enfin réussi à renouer avec ses premières amours : le style et la couture. Deux années de BEP vêtements sur-mesure et tout autant de vente dans le prêt-à-porter avaient déjà tracé le chemin sur lequel elle vient de repartir avec joie ; un projet réalisé avec son compagnon Fabien Gardès, lui-même dans le secteur du négoce.
À la voir disposer les chinos en coton ou velours, plier les gilets pure laine, aligner les doudounes en plume, virevolter autour des pulls, chemises, polos, tous les basiques qui ont fait la réputation de la maison Benetton, on la sent dans son élément. D’ici quinze jours, elle devrait recevoir les accessoires de la saison : ceintures, écharpes, baskets pour femmes et hommes qui, là encore, lui mettront des couleurs plein les yeux.
Ouvert du mardi au jeudi, de 10h-12h et 14h-19h. Le vendredi et samedi, non-stop de 10h à 19h !


O’HAWAÏ - restaurant, salon de thé

30, rue de Paris

Des petits plats sains, version restauration rapide : c’est le concept du 0’Hawaï qui ouvre ce lundi 19 septembre au 30 de la rue de Paris. Une enseigne toute en fraîcheur puisqu’elle propose des poke bowls froids, inspirés des archipels de Polynésie, mêlant riz ou quinoa, salade, poisson ou poulet et tout un festival de saveurs, en formule ou à composer. Les crudités, issues de producteurs locaux, voisineront avec les exotiques mangues, ananas et fruits de la passion venus dépayser les papilles le temps d’un repas. Il y aura aussi des desserts maison, des smoothies et autres bubble tea, en version allégée en sucre pour la pause.
Derrière le comptoir, la patronne l’assure : ce sera un lieu joyeux. Elle, c’est Nathalie Donkerwolke. Solide et lumineuse, elle a les mains aussi larges que le cœur. Si elle n’entre dans aucune case, cette ancienne professionnelle de santé, les coche toutes : généreuse, souriante, dévouée à de nombreuses causes solidaires, elle est aussi artiste-peintre, une « touche à tout » qui marche à l’adrénaline, à la passion, au don de soi avec toujours ce petit grain de folie jamais dénué de bon sens. Pour cette nouvelle aventure, elle a pris de temps de se former afin d’être à la hauteur de son rêve ; là encore, une philosophie de vie qu’elle a su transmettre à ses cinq enfants, « ses cinq soleils « ; l’un d’entre eux, Thomas, sera d’ailleurs à ses côtés au quotidien pour l’assemblage des plats.
Sur l’un des murs du local, la belle tortue qu’elle vient de peindre sèche encore. « Elle symbolise la chance et la longévité » explique-t-elle. C’est tout ce qu’on lui souhaite. Aloha, O’Hawaï !
Ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 18h (11h30 le lundi)


LEGRAND & CHOISY IMMOBILIER

39, rue de Pujols

La rue de Pujols enchaîne les ouvertures. C’est au n°39,cette fois, qu’un immeuble reprend vie. Racheté par le couple Bérénice Legrand et Sylvain Choisy, il devient une agence immobilière, à leur nom, la deuxième de leur prometteuse carrière. Car ces deux-là savent ce qu’ils font, où ils vont et s’en donnent les moyens. Spécialistes de l’investissement immobilier et de la gestion locative, ils sont eux-mêmes investisseurs. A vingt ans, ils construisaient de leurs propres mains leurs deux premières maisons (hors gros œuvre) destinées à la location, sans imaginer qu’ils en feraient plus tard un métier.
Leurs compétences croisées font des merveilles : stratégie, juridique et fiscalité, c’est le domaine de Bérénice qui compte plus vite que son ombre ; Sylvain, issu d’une lignée de maçons bâtisseurs, fait plutôt dans la pierre. Rigoureux et perfectionnistes, ils se sont également entourée de Charlène, formée aux techniques du bâtiment à Couffignal, avant de devenir collaboratrice d’architecte au sein des Compagnons du devoir. Bon sang ne sautait mentir, elle est la sœur de Sylvain.
Ce trio de choc, adepte du gagnant-gagnant, a fait le choix de Villeneuve-sur-Lot, « une ville qui envoie des signaux forts en termes de sécurité et d’enseignement supérieur, ce qui attire l’œil des investisseurs », assure-il.
Après quelques travaux, et la mise au propre du T5 de 130 m² situé à l’étage -et déjà loué- l’agence est prête à ouvrir ce jeudi 15 septembre. Là encore, une transaction sans fausse note pour ces passionnés, auparavant musiciens professionnels au sein des armées.
À savoir : Legrand & Choisy recrute 7 agents commerciaux « honnêtes et travailleurs », 3 pour Villeneuve et 4 pour Agen. À bon entendeur…


BROSSIER by TENDANCES ET TRADITIONS

31, rue de Pujols

La boulangerie de la rue de Pujols rouvre ses portes mardi ! La nouvelle était attendue et pas seulement par les habitants de la rive gauche : il s’agit quand même de l’un des plus célèbres établissements de la bastide. À la manœuvre, Laëtitia et Ludovic Fortier, déjà à la tête de deux boulangeries-pâtisseries à Villeneuve, route de Bordeaux et route de Casseneuil, qu’ils ont baptisé « Tendances et traditions ». C’est ce même nom qu’ils accoleront à celui de Brossier, par respect. Un respect qu’ils ont eux-mêmes gagnéen faisant de leurs boutiques des références en matière de pâtisseries, viennoiseries et pains multiples ; ils sont d’ailleurs fournisseurs officiels de pain bio pour les écoles, collèges, lycées et différents restaurateurs de la ville.
« Chez nous, la qualité avant tout ; chez vous, le plaisir du goût ». C’est leur devise. Ils sont comme ça les Fortier. Courageux à la tâche et authentiques. Ils ont en commun l’amour du travail bien fait, celui de la tradition du pain et de la tendance des gâteaux : l’amour du métier tout court. Et lorsque Yves et Francine Brossier sont venus, en personne, leur demander de ne « pas laisser 30 ans de boulange disparaître », ils n’ont pas réfléchi longtemps. Reprendre ce commerce à l’inimitable façade vert pomme,c’était comme un devoir, pour maintenir proximité et savoir-faire ».
Et justement, de transmission, il est aussi question : Yves Brossier leur a confié la recette secrète de sa célèbre coque des rois, celle-là même qui a fait sa réputation bien au-delà des bords du Lot. Mieux : il sera de retour au pétrin dès octobre pour les accompagner dans la fabrication. Une façon de les adouberhéritiers d’un savoir unique afin qu’à nouveau, à partir de novembre, la rive gauche embaume la brioche et la fleur d’oranger.
Pour ce projet, un boulanger, deux vendeuses et trois apprentis ont été recrutés, portant l’effectif total de la « Team Fortier » à 15 personnes.
Inauguration mardi 6 septembre, avec dégustation de brioche !
Du mardi au samedi de 7h à 19h ; dimanche de 7h à 13h.


L’atelier de Flo

3, avenue du Général de Gaulle

Florence Amadieu a fait d’une passion un métier. À compter du 1er septembre, c’est au service des Villeneuvois qu’elle met son talent et son savoir-faire en ouvrant un atelier photographique. Un choix mûrement réfléchi pour cette habitante de Saint-Sylvestre qui a passé plus de vingt ans à courir les routes de France aux côtés de son époux Denis. Tous deux ont exercé le métier exigeant de photographe de sport en pigeant pour des magazines spécialisés automobiles. Pendant deux décennies, la passion sera leur moteur. Puis Florence a décidé de se poser. Après cinq ans au Passage où elle a peaufiné sa technique auprès du photographe Christian Prince avant de prendre sa relève, et sept autres années sur le boul’ à Agen, c’est ici qu’elle a choisi de s’implanter.
Dédiée aux activités « classiques » de prise de vue en studio et extérieurs, elle propose photos de mariage, scolaire, reportage, photos d’identités agréées, développement argentique, tirage numérique depuis téléphones et tablettes, etc. Elle y ajoute sa touche personnelle, elle qui s’est découvert un goût pour la retouche d’images et le montage. Un métier à double entrée, tout comme son atelier qui s’ouvre d’un côté, sur l’avenue du Général de Gaulle et de l’autre, sur celle du Maréchal de Lattre de Tassigny.
L’atelier de Flo, du mardi au vendredi de 9h à 12h et de 14h30 à 19h ; le samedi, jusqu’à 18h. Tél : 06 85 32 89 52.


WA-FUTSU

10, boulevard Saint-Cyr de Coquard.

« Français par les origines, japonais par passion », voilà comment se définit Jonathan Maubert qui vient d’ouvrir à Villeneuve-sur-Lot le Wa-Futsu, un restaurant aux saveurs franco-japonaises. Une nouvelle aventure mûrement réfléchie pour ce trentenaire originaire de Tours et sa compagne Vanessa Calleja. Native de Villeneuve-sur-Lot, c’est elle qui a réussi à le convaincre de revenir dans la Bastide, en famille, après une expérience de dix ans à la tête d’un hôtel en bord de mer au Cap d’Agde. Fasciné depuis toujours par le pays du Soleil-Levant, son histoire, sa culture et… sa cuisine, Jonathan a alors affûté ses couteaux dans une chaîne de sushis pendant près de trois ans en tant que second de cuisine. L’expérience n’a fait que raviver son goût pour la fraîcheur et la rigueur des plats nippons. Et c’est donc ensemble qu’ils viennent d’ouvrir leur établissement dans un ancien restaurant du même type, relooké pour apporter clarté et zénitude à la salle.
Dans l’assiette, les puristes retrouveront les traditionnels ramen, yakisoba, donburi et autre chirashi avec des sauces maison, et des revisites inspirées comme le tiramisu au matcha ou la mousse au chocolat au tofu. Trois entrées, trois plats, trois desserts figurent sur la carte et changent chaque semaine : un défi culinaire comme les aime le chef, qui réfléchit à des recettes pour marier le Sud-Ouest à l’Asie ; un sushi au foie gras est déjà à l’étude, tout comme un chashu au pruneau… de Villeneuve-sur-Lot, bien sûr !
Ouvert tous les midis du lundi au samedi – Le soir, uniquement le vendredi et samedi. Sur place et à emporter : 09 83 40 32 53.


BRAVISSIMO : MR PIZZA DANS LE GAULT & MILLAU

26 Avenue de Fumel

Qui l’eut cru ? Un petit trésor d’Italie se cache avenue de Fumel et c’est là que le Gault & Millau l’a déniché. Rémi Mangione est même le seul artisan-restaurateur de Villeneuve-sur-Lot à figurer dans ce guide gastronomique Aquitaine Poitou-Charentes 2022-2023 ! Une juste récompense pour le trentenaire, si fier de ses origines italiennes, qui met un point d’honneur à proposer depuis neuf ans la vraie pizza napolitaine, celle-là même qui figure au Patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO.
Son secret ? Il n’en a pas ! Seulement l’obligation de se plier aux règles de l’art : la fabrication de la pâte quotidienne dès 6h avec des dosages très précis, des produits de la botte, une cuisson à 450° et pendant au moins 90 secondes. Cela donne une pizza authentique aux bords croustillants, molle au centre et pliable en quatre, comme le veut la tradition.
Amateurs d’ananas, viande hachée, kébab ou emmental devront passer leur chemin. Ici, la sélection des produits est exigeante et leur origine est contrôlée ou protégée : c’est le cas pour le parmiggiano, la mozarella di bufala, le gorgonzola mais aussi la spianata ou la guanciale ; le jambon cru de Parme 24 mois est lui-aussi un AOP, tout comme l’huile d’olive qui vient des Pouilles.
À la carte, la sobriété est de mise pour garantir la qualité du travail de l’artisan : 10 pizzas, 6 antipasti et 2 desserts maison sont proposés chaque jour. Parce que chez les Mangione, la générosité est une seconde nature, qu’il s’agisse de Rémi ou de son épouse Mathilde qui l’accompagne en marge de sa propre activité de diététicienne, la classique Margherita est à 5€ tous les jours de 11h30 à 13h15. Un happy hour pour une happy family qui a fait le choix de fermer le week-end parce que la « famiglia » aussi, c’est sacré.
Mr Pizza, Chez Mangione - 06 42 14 73 98
Du lundi au vendredi : 11h30 - 13h30 / 18h30 – 21h30. Principalement à emporter


RÉCOMPENSE : UNE TOQUE VERTE POUR L’OUSTAL

4, place Lafayette

La liste des fournisseurs est affichée en vitrine : fruits, viandes, miel, fromages, farine bio, etc. tous sont cités. Il faut dire qu’à l’Oustal, on sait rendre à César… « Un bon plat, c’est d’abord un bon produit » assure Lionel Ozanne qui tient avec Caroline -sa femme et chef- cet établissement depuis déjà 23 ans. Leur restaurant vient de se voir attribuer une nouvelle distinction : une Toque verte. Elle récompense la gestion des déchets, la maîtrise de l’énergie et de l’eau, la lutte contre le gaspillage alimentaire, l’approvisionnement… autant de critères éco-responsables que les Ozanne ont intégré depuis longtemps.
« Toute récompense est une fierté, mais cette démarche reste avant tout une philosophie de vie au quotidien », explique celui qui rêve de convaincre la clientèle « qu’on ne mange pas de Saint-Jacques en été ni de cerises en hiver ! Respecter la saisonnalité, est un premier pas vers la limitation de notre impact sur l’environnement ».»
L’Oustal (cuisine basque et traditionnelle) qui figure dans les pages du Routard depuis 1998, est labellisé Tables et Auberges de France catégorie Table bistronomique. Il est aussi, et surtout, estampillé « maître-restaurateur », l’un des très rares de la Bastide.

Chez Tonton

15, avenue d’Agen

La vache rouge devant la porte de leur magasin, avenue d’Agen, attire les regards. Salim et Ouahiba Megharsi viennent d’y ouvrir une boucherie charcuterie épicerie dans un beau local de 300 m². Grossistes en viande, c’est à la faveur de l’achat de leur maison à Villeneuve-sur-Lot, qu’ils ont réalisé que le contact avec la clientèle et les sourires leur manquaient. « Chez Tonton » concrétise tout ce qu’ils aiment, eux qui ont déjà tenu une supérette vers Fumel par le passé. On y trouve, bien entendu, un grand rayon boucherie achalandé uniquement en viandes françaises ; Barry, boucher professionnel, y propose bœuf, veau, agneau, volaille en frais, mais aussi en salaisons « maison » et gère la rôtisserie de poulets fermiers.
Chez Tonton propose aussi les classiques de l’épicerie de proximité : produits locaux et fermiers, produits méditerranéens, crémerie, boissons, tout sauf de l’alcool.
Aidés par Ryad, leur employé, ils ouvrent du lundi au samedi de 8h30 à 12h30 et de 15h à 20h, le dimanche de 9h à 13h.
Livraisons possibles pour les personnes à mobilité réduite. Renseignements : 09 83 05 08 50


La Petite Ferme

1, avenue Jacques-Bordeneuve
 
C’est un marché permanent des producteurs : uniquement du direct, du bio, du local et de saison. Ces producteurs, ce sont Laurence, Carina, Nadia, Alain, Pierre et une trentaine d’autres comme eux, tous d’ici ou de pas bien loin. Dans leur local lumineux, ils proposent fruits et légumes frais, légumes secs, pain, boissons, miel, confitures, produits laitiers, boucherie, pâtes, œufs, cosmétiques, huiles essentielles, jeunes plants bref, de tout, et plus encore. Leur concept inédit : proposer les produits par ferme et non pas par thème ; une façon de donner de la visibilité à des fermes multi-produits, avec des prix fixés individuellement par chaque agriculteur lui-même.  
Finalement, ça ressemble à un marché du mercredi – dont d’ailleurs certains sont des fidèles- mais en version quotidienne, toute la journée et bien à l’abri.
Réunis au sein de l’association « Les producteurs de la petite ferme », ils revendiquent aussi leur envie de créer du lien et de faire passer des messages pour une consommation différente.
Avec une énergie tout aussi communicative que leurs sourires, ils viennent de mettre la touche finale à la boutique où ils se relaieront tour à tour aux côtés de Lorraine, la vendeuse permanente du lieu.
Au fait, La Petite Ferme aujourd’hui, mardi 10 mai, à 10h !!!!

Du mardi au vendredi de 10h à 13h et de 15h30 à 19h, le samedi de 9h à 16h
1, avenue Jacques-Bordeneuve (route de Bordeaux) à deux pas du Campus.


Le Grand Café Tortoni

5, bd Georges-Leygues

Imaginez une brasserie parisienne des années 30… Un décor chic, chaleureux et des plats gourmands à partager entre amis : c’est le tout nouveau Grand Café Tortoni du boulevard Georges-Leygues, version 2022. Nouveau décor, nouveau concept, nouvelle équipe : dire que le Torto’ s’est payé une cure de jouvence serait un doux euphémisme.  
À la manœuvre, Philippe Molinié, patron également du Glacier, qui souhaitait apporter une offre nouvelle en centre-ville, sans concurrencer les autres établissements. Il en a confié les rênes à deux professionnels : Christian Rakotoarimanana, par ailleurs à la tête du Avana, en est devenu le directeur ; Florette Grenier, qui a fait ses armes au Glacier, est quant à elle cheffe de cuisine. Et des idées, ils n’en manquent pas. À table, ils ont imaginé de la cuisine de grand-mère proposée dans des cocottes à partager. Des repas comme à la maison qui ajoutent de la bonne franquette à des plats français sans chichi mais savoureux, inscrits sur le menu du jour. Mais pas que.  
Désireux de casser les codes, ils vont revisiter le burger façon pain de campagne/Rossini ou le hotdog à la saucisse de canard par exemple. Côté boisson, une belle sélection de bières et des cocktails signature sont partie des surprises.
Tous plus accueillants les uns que les autres, les nouveaux membres de la New Team’s Torto veulent en faire un vrai de lieu de vie, entre guinguette, repas à toute heure et « after diner ». C’est bien parti.

Ouverture de 9h à 1h du matin, du mardi au dimanche. Cet été, ce sera 7j/7.


Le parvis

41 rue de Penne  

Du nouveau devant l’église Sainte-Catherine : un restaurant emblématique de la Bastide change de mains et de nom : Ze Cuiz’in a laissé place début mars au bien-nommé « Le Parvis ». Lucien Bourhis, son nouveau propriétaire, entend lui-aussi y créer une belle adresse de centre-ville. S’il a gardé la même équipe, renforcée en cuisine et en salle, et quelques recettes transmises par ses prédécesseurs, ce trentenaire compte très vite apporter sa touche, misant sur le local et la qualité. La nouvelle carte en cours de préparation sera à son image : il y a aura de la fraîcheur dans les assiettes, des herbes, du végétal et de nouveaux goûts aussi en remettant à l’honneur son barbecue d’intérieur pour proposer des grillades aux beaux jours. Ajoutez-y de bonnes adresses côté vins, des nouveautés côté apéro avec quelques recettes familiales secrètes, et vous aurez l’esprit du lieu, revu en bleu et bois, chaleureux, ouvert et branché. Lucien Bourhis veut en faire un endroit convivial de rendez-vous où l’on vient partager des moments en famille et entre amis, le midi, le soir et le week-end. Pour l’heure, il ouvre pour déjeuner du mardi au samedi et pour dîner, du jeudi au samedi.
L’adresse : sur le parvis, pardi !


Topping’s City, gourmandises sucré-salé

43, rue Sainte-Catherine

Elles sont ultra-gourmandes, moelleuses et croustillantes. On les appelle les « bubble gaufres » et elles viennent de faire une entrée remarquée dans la Bastide. À la manœuvre, Dany Desprats, une commerçante déjà implantée à Villeneuve, qui a décidé de casser les codes de la gaufre classique. Les siennes, en forme de bulles, sont agrémentées de chantilly, coulis ou glace, et se couvrent de garnitures (toppings en anglais, d’où le nom) fruitées, chocolatées, sucrées ou biscuitées, autant qu’il en rentre, parmi une vingtaine. « J’ai eu un véritable coup de cœur et le concept n’existait pas à Villeneuve, alors je me suis lancée ».
Dans ce grand local de 80 m2, on trouve aussi des glaces au yaourt, des smoothies frais ou encore des milk-shakes. Mais ce n’est pas tout. Pour compléter l’offre, la patronne des lieux a choisi de jouer la carte du salé en rajoutant un comptoir à sandwichs, là encore à composer soi-même. Baguette classique, aux céréales ou pain nordique toasté sur place s’agrémentent de produits frais (jambon, magret, saumon, poulet grillé, œufs durs, etc.) avec salade et légumes de saison.
Dany a choisi de confier la « boutique » à Abigaëlle, Sonia et Cindy, trois jeunes femmes souriantes qui se relaient à la préparation des commandes, à consommer sur place ou à emporter.

Le comptoir salé est ouvert de 11h30 à 14h. L’établissement, lui, est ouvert du lundi au samedi de 10h à 19h non-stop (fermeture à 18h le lundi).


Vapotech, cigarette électronique

48 rue de Paris

Parmi toutes les nouvelles boutiques de Villeneuve, Vapotech est la petite dernière à ouvrir ses portes dans le centre-ville. Installée au 48 de la rue de Paris, elle propose tout l’univers de la vape, des produits hight-tech et des nouveautés chaque semaine, aussi bien pour le débutant qui souhaite arrêter de fumer que pour le confirmé affamé de tendances.
La boutique Villeneuvoise est le 12e bébé d’une société 100% Sud-Ouest, créée en 2011 dans les Landes voisines par un couple d’entrepreneurs ambitieux. Dans la Bastide, ils ont confié les clés de la maison à trois jeunes conseillers de vente locaux, Elsa Landré, Loïc Piasentin et Nicolas De Zagrodzki, chargés d’animer ce bel espace de vente de 56 m2 au décor à la fois chic et vintage. Bien décidés à apporter leur pierre au dynamisme du cœur de Ville, ils viennent de rejoindre l’association des commerçants et artisans de Villeneuve.
Ouvert du lundi au samedi de 9h à 19h, non-stop !


Phileas Fogg, bar et cave

4, bd Georges Leygues

L’idée lui trottait dans la tête depuis longtemps. Jérôme Aomar vient de la réaliser : ouvrir, à côté de son resto bistronomique Le Tandem, une belle cave qui deviendra, début 2022, bar et scène musicale. Pour l’heure, dans ce très beau local de 60 m2, il présente déjà cent-quarante bières différentes -dont certaines de brasseurs artisanaux locaux- et un rayon de spiritueux à faire pâlir les amateurs.  
Sa gamme de Whiskies est riche d’une soixantaine de références, son rayon Rhums en compte plus de soixante-dix. Pas question pour autant d’y retrouver les breuvages que l’on trouve partout ; le patron a fait le choix de travailler avec des marques originales, plus confidentielles parfois, présentant une large palette de saveurs, de nez et de longueur en bouche.  
Affilié à « Orge et Houblon » pour la bière et au « Dugas Club Expert » pour les spiritueux, Jérôme avance ses pions avec sérénité. Amateur d’élixirs lui-même et adossé à des réseaux solides, il a choisi d’apporter sa personnalité à cet endroit pour lequel il envisage, à terme, de proposer des dégustations pour des accords mets-vins et mets-spiritueux, et des soirées de musique en live.
Ses projets, c’est à Villeneuve qu’il a choisi de les réaliser. Sa ville natale, longtemps délaissée pour de nombreuses missions à l’étranger, a eu raison de ses pérégrinations. « C’est à Villeneuve que je me sens bien, assure-t-il. Enrichir l’offre en apportant ma pierre au dynamisme du centre-ville, c’est une mission qui me motive ». Celui qui a pour devise « l’impossible n’existe pas », signe là sa déclaration à la Bastide, une nouvelle occasion de donner du sens à ses nombreuses passions.

Pour les envies festives ou gustatives, Phileas Fogg est ouvert du mardi au samedi de 10h à 12h30 et de 14h30 à 19h30. Le samedi, ouvert dès 9h et les dimanches de décembre de 10h à 12h30 et de 14h à 17h.


La Parenthèse

1, rue de Pujols

Niché sur la rive gauche, au bout du Pont des Cieutat, un petit salon gourmand mérite une escale. Si le lieu n’est pas nouveau, il vient de changer de capitaine et c’est Gaëlle Le Maître qui en a pris la barre. Et ça, ça change tout. Elle y propose une large gamme de thés bien sûr, des grands crus de café parmi les plus rares, mais aussi smoothies, jus bio et boissons gourmandes. À midi, aux cotés de la « soupette » de saison, on peut y déguster de la petite restauration faite maison (quiche, tartes, cakes) et pour la fringale de l’après-midi, crêpes, muffins et autres pâtisseries -dont certaines sans gluten et sans lactose- pour se bichonner les papilles.
Car le bien-être, ça n’a pas de prix pour Gaëlle. Et celui que l’on ressent sur sa terrasse en aplomb du Lot, avec une vue incroyable sur le patrimoine de la rive droite, n’en est qu’un des aspects. Dans son petit établissement baigné de lumière, elle a disposé des fauteuils cocooning, propose quelques bouquins et des jeux de société, expose des artistes locaux pour créer une ambiance, des rencontres chaleureuses et des éclats de rire. Ce lieu, c’est un peu elle-même. Car Gaëlle, c’est la bonne humeur incarnée.
Si dans une autre vie, elle a connu de très diverses expériences professionnelles, passant des pompes funèbres à l’élevage de chihuahuas ou à la photographie scolaire, c’est qu’elle ne s’interdit rien. Elle a fini par comprendre qu’au lieu de chercher sa voie, mieux valait chercher son équilibre. Elle l’a enfin trouvé, dans la gourmandise et l’accueil.
La dame du bout du pont ouvre le mardi, mercredi et samedi (jours de marché) à 8h30 à 19h. Jeudi et vendredi de 11h à 19h. Sur place et à emporter.

1, rue de Pujols, 06 89 22 77 47 Facebook salon de thé La Parenthèse


Grillades avenue

4, avenue du Maréchal Leclerc

Le fumet des viandes grillées titille les narines dès l’entrée. Dans la cuisine ouverte sur la salle, les cuistots s’activent. L’œil partout et le sourire aux lèvres, Anouar El Azizi est heureux. À 27 ans, cet enfant de Villeneuve, que le poste de directeur itinérant pour une grande enseigne a éloigné de la Bastide quelques années, a trouvé son équilibre. « Je suis né ici, j’ai joué au rugby à XIII ici, on m’a offert un emploi ici : je veux rendre à ma ville tout ce qu’elle m’a apportée ». Et c’est justement alors qu’il était loin de la Bastide et qu’il déjeunait toujours à l’extérieur, qu’Anouar a trouvé un concept pour évoluer à son compte et, surtout, se démarquer : une cuisine rapide face aux clients « parce qu’on n’a rien à cacher », et de la grillade au feu de bois pour le goût, la qualité et l’authenticité : brochettes de kefta, de poulet, merguez douce, voisinent sur la carte avec entrecôtes, côtelettes et magrets de canard. Uniquement des produits frais issus de producteurs locaux, sans oublier les bricks et les frites maison, et toute une série de burgers, à déguster sur place, à emporter ou livrés.
Désireux de mettre sa capacité de travail et son exigence de qualité au service de ses clients, il l’assure : « Je suis un petit jeune qui veut faire quelque chose de sa vie, dans sa ville ». Mais pas seulement. Anouar, qui a déjà déposé sa marque voit plus loin et envisage de créer, pourquoi pas, une chaîne Grillades avenue…  
Pour l’heure, Anouar a déjà recruté deux cuisiniers. Il est même à la recherche d’un apprenti…

Grillades avenue est ouvert 7j/7 de 11h15 à 14h et de 18h à 22h30. Dimanche et lundi : uniquement le soir. 05 53 36 78 74


Maroquinerie-chapellerie Villeneuvoise

35, rue Sainte-Catherine

Valérie Desplat a les yeux qui pétillent. Depuis ce matin, sa nouvelle boutique ne désemplit pas. Les commerçants voisins se relaient pour lui souhaiter la bienvenue dans la Bastide. Voilà de quoi donner de l’énergie à cette dynamique casseneuilloise qui n’en manque pourtant pas.
Car le commerce, c’est toute sa vie. Et ce projet lui tenait particulièrement à cœur : ouvrir une maroquinerie, chapellerie, bagagerie et accessoires en lieu et place de la maison Cassagne. « C’est une fierté de repartir sur les pas de quelqu’un qui a tant marqué, et j’espère que les gens auront autant de plaisir à venir chez moi qu’ils en avaient à venir chez lui ».
Dans son beau magasin de 120 m2, Valérie a tout changé : les couleurs, les espaces, le mobilier pour en faire un endroit lumineux et très chaleureux, et les collections qu’elle a étoffées avec de nouvelles marques françaises comme Mac Douglas, Lancaster et Mac Alyster, pour commencer. Elle a aussi ajouté foulards, ceintures, bretelles, bonnets, sacs à dos Eastpak et Cabaïa… Tout un univers dans lequel elle évolue avec plaisir et un vrai sens du contact, elle qui, par le passé, a été gérante de plusieurs instituts de beauté, de Fumel à Casseneuil, en passant par Marmande et Saint-Sylvestre.
Fonceuse, déterminée et positive, avec l’éclat de rire facile, Valérie Desplat mène un projet plus ambitieux pour Villeneuve : racheter l’immeuble en angle qui l’abrite pour y créer du logement en plein cœur de ville. « Rien n’est impossible quand on est soutenu par sa famille, par ses clients, par l’envie d’avancer : c’est ça le bonheur, avec un petit grain de folie ». On ajoutera le bon goût et le savoir-faire en prime.
Maroquinerie-chapellerie Villeneuvoise est ouverte du mardi au jeudi de 9h30 à 12h et de 14h30 à 19h. Vendredi et samedi : journée continue.

05 53 71 93 31
Sur Facebook et Instagram.


Tables et auberges de France

Belle récolte pour Villeneuve

Il n’est pas passé inaperçu avec sa veste de cuisine immaculée, brodée d’une toque à l’enseigne tricolore… Christophe Stuber, critique culinaire et manager général des critiques gastronomiques du Label Tables et Auberges de France, a fait un retour remarqué en terres villeneuvoises, deux mois après son premier passage.  Et cette fois-ci encore, la récolte est belle. Deux restaurants de la Bastide ont été labélisés après un arrêt gourmand du chef dans leur établissement : il s’agit de Ze Cuiz’in, sur le parvis de l’église Sainte-Catherine et le Terminus, situé sur l’avenue Foch, face à l’ancienne gare, tous deux honorés dans la catégorie « brasserie gourmande ».
Mais l’objectif de la démarche, en plus de valoriser la gastronomie du terroir, est aussi de promouvoir les talents d’artisans ou de producteurs. C’est ainsi qu’Éric Jayant, de la célèbre charcuterie Au petit Cochon sur l’avenue de Fumel, s’est vu remettre la précieuse plaque, de même que Roucadil, la Maison des Pruneaux de la place de la Libération, honorée dans la catégorie « artisan-chocolatier ».  
Sous le charme de la Bastide, et persuadé qu’il y a encore des pépites à révéler sur le territoire, Christophe Stuber a déjà annoncé son retour en octobre…


Dans son périple gourmand, l’expert s’est à nouveau arrêté à Sainte-Livrade, sur les terres de la « chef nomade » Patricia Richer déjà labellisée et première également à avoir reçu la récompense de « cheffe à domicile en gastronomie ». Et c’est à Piquessouque qu’il a fait halte, chez Bayol & fils, là où la prune est reine et dont le pétillant de pruneaux l’a séduit. Enfin, à Allez-et-Cazeneuve, Christophe et Séverine Latour, représentant toute une communauté de maraîchers, ont décroché leur titre, eux dont les fruits et légumes se retrouvent sur les plus grandes tables parisiennes et internationales. Christophe Stuber a également récompensé le boulanger-pâtissier Rémy Guilhem, de la Maison Guilhem installé aux Portes de Pujols, Le Stelsia pour l’hôtel, mais aussi le restaurant (catégorie bistronomie).

À savoir : Tables et Auberges de France, structure à but non lucratif, bénéficie de la reconnaissance officielle de l’État avec son agrément « Qualité tourisme », qu’il accorde… ou pas.


Etam change de trottoir…

Ça bouge en centre-ville ! La boutique Etam a choisi de prendre ses aises et déménager au 21-23 de la rue de Paris, celle-là même qu’elle occupait jusqu’à présent, mais au n°6. Aux manettes, on retrouve l’incontournable business woman Patricia Gonzalez. Et pour son magasin spécialisé dans la lingerie féminine, la Villeneuvoise qui a l’habitude de faire dans la dentelle, a opté pour un bel espace, plus lumineux et beaucoup plus spacieux. Sur 120 m2, il affiche fièrement le tout nouveau concept de la marque, développé seulement dans trois boutiques en France : une palette de teintes épurées et douces –blanc, bois et cuivre- avec des matériaux recyclables ou recyclés, pour accompagner les nouvelles collections éco-responsables.
Élisa et Clémence tiennent la boutique le lundi après-midi et du mardi au samedi de 10h à 19h non-stop !


Le Resto d’Alep

32, rue de Casseneuil

Encore une belle histoire. C’est celle de Mohamed Hassan, syrien d’origine et cadre commercial dans une grande enseigne française de distribution. Au fil de ses mutations professionnelles, il découvre Villeneuve, et c’est le coup de foudre. Il en repart, mais la Bastide est ancrée dans son cœur. Il rencontre alors Adrien Borrely, technicien SAV pour la même société à Bordeaux, et par ailleurs titulaire d’un CAP Cuisine. Cette amitié professionnelle se poursuit, malgré le chômage technique imposé par les deux crises sanitaires. L’idée germe alors de s’associer dans un projet de restaurant, et c’est bien entendu Villeneuve qui s’impose comme une évidence.  
Ce restaurant, ils l’ouvrent au numéro 32 de la rue de Casseneuil. Et le concept est double. Proposer, bien entendu, de la cuisine du Moyen-Orient, aux influences syriennes, turques et grecques. Inspiré par sa mère, dont il tient l’amour des grands plats familiaux et généreux, Mohamed sera à la confection des kebbeh et autres baba ghanouj de son enfance, parfumés et peu épicés. La carte fera la part belle aux légumes du soleil, le végétal étant présent à 80% dans les plats.
Mais les deux associés sont aussi des militants. Leur combat : la lutte contre le gaspillage alimentaire. Leur envie : favoriser l’accès de tous à une nourriture saine. Pour cela, ils s’apprêtent à travailler en circuit court avec des producteurs locaux et à récupérer les invendus pour proposer, chaque midi de la semaine, un plat du jour à 4,90€. « Nous voulons offrir un repas digne et sain à moindre coût » assurent-ils. Une conviction qu’ils ont aussi déclinée dans la déco : du beau, mais de récup’.

Le resto d’Alep, qui fait aussi de l’emporté, sera ouvert du mardi au dimanche.
Facebook : RESTO D’ALEP – 06 31 13 35 57 – 06 24 16 88 96


L’Instant Thé, salon de thé

21, rue Sainte-Catherine

Celui-ci vient d’ouvrir sur le parvis de l’église Sainte-Catherine. À la manœuvre, deux visages bien connus de la restauration en centre-ville : la pétillante Marine Schmitt et l’enthousiaste Stéphane Raimbault, qui ouvrait il y a 30 ans, presque jour pour jour, le premier salon de thé de la Bastide. L’idée infusait depuis longtemps dans leur esprit ; il aura suffi d’une rencontre improbable, d’un « alignement des planètes » pour qu’ils se lancent dans ce nouveau challenge, en cœur de Bastide. Dans leur spacieux salon de thé lumineux, de style industriel et cosy, on trouve une grande variété de soft drinks : des thés chauds ou glacés « maison » à profusion, mais aussi cappuccino, latte macchiato ou encore smoothies, à savourer avec de grandes crêpes gourmandes -home made elles aussi-, crumbles, pannacotta et autres exquises pâtisseries.
À midi, les deux complices proposent également une petite restauration salée avec des salades composées, des quiches, tartes et omelettes : un service rapide, bon et raffiné. À savourer à l’intérieur, en terrasse, ou à emporter.
Bon à savoir : L’Instant Thé est le seul à proposer la marque « Le Palais des Thés », exclusive sur Villeneuve, à déguster sur place ou à acheter en vrac et en coffret.

Ouvert du mardi au samedi, de 9h à 19h, sur le parvis
05 53 72 13 27


Maison Hipstom, tailleur pour homme

13 rue de Casseneuil, à l’angle de la rue Parmentier

C’est une maison de couture 100% française et 100% villeneuvoise, installée en cœur de Bastide. À sa tête, Tom Paris, le créateur de l’inédit nœud Claudinet, entre cravate et nœud pap’, un modèle déposé qui lui a donné des ailes. Styliste né, hipster assumé, ce trentenaire peut s’enorgueillir d’être devenu maître tailleur, un métier en voie de disparition qui fait de lui le seul d’Aquitaine.

Dans sa boutique-atelier, on trouve tout l’univers de l’homme, en textile. Coton naturel, lin, soie, laine, les matériaux nobles se déclinent entre ses mains en tee-shirt, chemises, pantalons, vestes et nœuds, pour inventer la mode de demain. Dessin, création, fabrication sont effectués sur place, tout comme la customisation et la retouche.

À ses côtés, Tom peut compter sur sa mère, Claudine, ancienne styliste chez Dior et Chanel. C’est d’elle qu’il affirme tenir cette passion de la mode et ce savoir-faire impeccable, où l’art et l’artisanat se confondent pour donner naissance à des vêtements élégants, de qualité et sur-mesure.

Infatigable entrepreneur, Tom qui est aussi gérant de La Station 47 à Parasol, voit loin. Son souhait : former des jeunes, ici à Villeneuve, pour transmettre son métier et essaimer partout en France. Gageons que cette boutique ne sera que la première de sa débutante ascension.

www.hipstom.com - facebook Hipstomfrenchelegance – Instagram @maisonhipstom


Les Bohémiennes : prêt-à-porter et accessoires 

43, rue de Paris 

Les Bohémiennes à Villeneuve-sur-Lot
Bohème chic, joviale et décalée : c’est tout Cécile Chabrié. Ça tombe bien, c’est ainsi qu’on pourrait définir Les Bohémiennes, la toute nouvelle franchise qu’elle a choisi de représenter à Villeneuve. « Je sais, il faut être folle pour ouvrir une boutique en pleine crise sanitaire, eh bien je suis folle, folle de vie et de vente » lâche-t-elle dans un éclat de rire.  
Cécile Chabrié n’a rien d’une inconsciente, loin de là. À l’aube de ses 40 ans, elle est même plus déterminée que jamais. Vendeuse puis gérante de plusieurs magasins de prêt-à-porter dans le cœur de Bastide, c’est elle qui avait repris Z il y a trois ans. À la fermeture définitive de l’enseigne pour enfants en janvier, elle a rebondi sans attendre. Désireuse de revenir vers la mode femme, elle a un coup de cœur pour Les Bohémiennes, une franchise née au Pays Basque il y a un an et demi.  
« C’est branché, fantaisiste, rigolo, avec toujours un coup d’avance, pour toutes les tailles et tous les budgets » assure la Villeneuvoise. Elle rouvre donc ses 70m2 de boutique à deux pas de la tour de Paris pour accueillir vêtements, bijoux, chapeaux et quelques chaussures. « Je suis sur un concept mode différent, complémentaire pas concurrent » explique celle qui se définit comme « une partisane du centre-ville. J’y habite, j’y consomme, j’y travaille… j’y crois ! ». 
Et pour toutes celles qui y croient aussi et veulent découvrir cet univers coloré, un brin gipsy et éminemment féminin, rendez-vous en centre-ville : la boutique ouvre ce samedi 6 mars, à 9h30 ! 

43, rue de Paris (ancien magasin Z) 
Ouvert le lundi de 14h à 18h, du mardi au samedi de 9h30 à 12h et de 14h au couvre-feu…


Original’s burger, restauration à emporter

Burgers maison, pizzas, mais aussi petits plats chauds de saison, c’est ce que propose Olivier Chasle dans son commerce situé au 178, avenue du général de Gaulle. Un pied dans la halle d’Eysses pour être près des matières premières et une fenêtre sur rue, pour mieux servir sa clientèle : voilà pour le local.Le concept, lui, c’est le snacking à emporter. Une formule qu’il maîtrise depuis deux décennies. Car Olivier Chasle n’est pas un débutant en la matière, loin de là. Il compte même parmi les plus jeunes entrepreneurs de la Bastide puisque c’est à l’âge de 21 ans, nous sommes alors en 1999, qu’il crée son premier commerce, un kiosque à pizzas sur l’avenue d’Agen. Six ans plus tard, ce Villeneuvois de père en fils, quitte son fief pour la Suisse. L’aventure y durera 11 années pendant lesquelles il tiendra son propre resto-snacking dans une station de ski. Mais l’appel de sa terre natale sera le plus fort. En 2015, il rentre au pays, se réinstalle à Villeneuve avec femme et enfants, et monte un nouveau kiosque, avenue de Fumel cette fois. L’aventure tourne court une nuit de 2019 : son local est totalement détruit. Mais parce que « la vie est un combat, il ne faut jamais se décourager », il se cherche un nouveau lieu, en dur cette fois. C’est donc au sein de la halle d’Eysses qu’il exerce désormais et concocte pizzas, burgers et plats chauds cuisinés maison, toujours à emporter : chili con carne, tartiflette, lasagnes et bientôt fondues helvètes au vrai gruyère suisse et vacherin fribourgeois. Pour faire apprécier ces saveurs venues des alpages transalpins, il fournit tout le kit : pain, ail, vin blanc et même caquelon.

Original’s burger est ouvert du mardi au samedi de 11h30 à 14h et de 18h à 21h30 (22h le week-end). 06 24 61 31 78 – Facebook


PAND’OR ET PAILLETTES, esthétique et onglerie

PANDÂ’OR ET PAILLETTES, esthétique et onglerie à VilleneuveMarine Leclercq est de ces personnes opiniâtres, de celles qui osent rêver à un futur qui leur corresponde. Son destin de jeune femme de 30 ans, elle vient de le choisir en ouvrant son institut de beauté Onglerie, convaincue aujourd’hui d’être en accord avec elle-même. Parce qu’avant, Marine a longtemps cherché sa voie. Elle a débuté par la coiffure, fait un détour par la petite-enfance, passé un bac pro service à la personne puis obtenu un BTS tourisme. Un joli parcours pour cette Villeneuvoise au fort tempérament, féminine jusqu’aux bouts des ongles, à qui les expériences professionnelles laissaient pourtant cette sensation indicible de ne pas être en phase avec elle-même. Pas heureuse.
Encouragée par son entourage, qui la connaît mieux qu’elle-même, elle efface tout, et se lance dans un CAP esthétique doublé d’une formation de prothésiste ongulaire. C’est le déclic, l’évidence. Le confinement sera mis à profit pour déposer ses statuts, trouver un local, l’aménager et ouvrir enfin Pand’Or et Paillettes en début de mois. Là, elle dispose de trois espaces : l’un dédié aux massages et au bien-être, le deuxième réservé à l’épilation et le troisième, est voué à sa passion : l’onglerie. Création de faux ongles avec différentes techniques, nail art, décoration sur ongle, vernis semi-permanent, manucure et pédicure… elle est dans son élément. Et enfin heureuse.

Pand’Or et paillettes, 1, rue de Courtade (1er étage). Parking au rez-de-chaussée.07 80 96 89 66


MOA, bijoux & accessoires

MOA, bijoux et accessoires à Villeneuve-sur-LotC’est une boutique de filles, pour les filles… et ceux qui les aiment ! A la tête de ce concept store innovant et inédit à Villeneuve : Estelle Blanc ; un visage souriant qui sera familier aux shoppeuses du centre-ville puisqu’elle a exercé à Camaïeu avant de prendre la responsabilité de Promod pendant cinq ans. Aujourd’hui, elle change de trottoir mais pas de rue, car c’est au 31 de la rue de Paris qu’elle s’apprête à ouvrir sa propre affaire, sous la franchise MOA.
Enthousiaste et passionnée, Estelle avoue être une « access’ fashion addict ». Elle sera donc parfaitement dans son élément au milieu des bijoux tendance, lunettes de soleil, chapeaux, porte-monnaie, chaussures, sacs, pochettes, pensés pour toutes les occasions et pour tous les âges puisque sa boutique compte aussi un « mini-Moa » réservé aux petites filles…
Dans cette nouvelle aventure, Estelle s’est entourée d’une vendeuse, Sophia, qu’elle vient de recruter en CDI. Et parce qu’elle connaît bien Villeneuve et son potentiel, sa boutique sera ouverte entre midi et deux !

MOA, 31 rue de Paris. Ouvert du lundi après-midi au samedi, non-stop.



Dernière modification : mercredi 07 février 2024

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